Histoire des institutions politiques et sociales de l'Antiquité

Résumé du document

Cours d'histoire des institutions de l'antiquité (Rome et Athènes) très complet, 80 pages.

Extraits

[...] Elle ne confère ni l'auspicium, ni l'imperium, mais seulement une approbation populaire qui permet au consuls d'interrogé Jupiter. Chaque consul est suivit des 12 porteurs de faisceau. I y a rupture car, le consul n'est pas le chef de la religion officielle. C'est le pontifex maximus : chef de la religion officielle. Le consulat est strictement limité dans le temps. Les consuls sont choisit par les deux consuls de l'année précédente avec l'accord du Sénat Les autres organes de l'Etat ) Le conseil C'est le Sénat, composer de 300 membres, tous patriciens. [...]

[...] L'Héliée impose de plus en plus fréquemment ses propres jugements aux cités allié. L'ecclésia vote les décrets sans même attendre celui du Synédrion. La force est utilisé pour empêcher les cité de faire défection : révolte des cité contre Athènes défaites d'Athènes. Il ne reste de la confédération que les petites cités sans importances soumises à Athènes. La démocratie corrompu, livré aux exigences du petit peuple ne peut pas fonctionné sans l'impérialisme. Les chefs de la démocratie athénienne n'ont plus qu'un intérêt égoïste. [...]

[...] Il convient donc de suspendre la constitution romaine et de lancer un sénatus consultes ultime fondé sur l'auctoritas du sénat. LE sénat reprend en mains tous les pouvoirs institutionnel : les deux consuls sont placé sous les ordres du sénat ; la prococatio ad populum est suspendu, la puissance tribunitienne est inopérante. Le sénat lance l'armé contre Caius et ses partisans. C'est un massacre légal Caius et 3000 partisan sont tué par l'armée romaine. Chaque fois que le sénat après 121 lancera un Sénatus consultes ultime, cella sera toujours contre ses propres opposants politique. [...]

[...] Il oblige le Sénat de prendre un sénatus consultes ultime contre Sylla et ses partisant. Sous-Section 2 ) Sylla ou l'ordre oligarchique, 81-79 Sylla est un personnage très énigmatique, nous ne sommes par sur de son programme politique : ou bien on condidère que c'est un homme qui aspirait à la monarchie et qui a échouer. Ou bien c'était un partisan sincère d'un pouvoir sénatorial fort, partisan de la tradition romaine. Il est peu aimer des historiographe en raison de la proscription qu'ila inventé et a fait périre des milliers de ses opposants. [...]

[...] Elle est confié à des citoyens qui auront le statu d'occupant de la terre public, occupation qui permet la culture de la terre. En tant qu'occupant de la terre public, ils doivent payer un impôt (le vectigal). Ceci fournis des revenu au trésor public, de plus, le payer est un moyen de preuve du caractère public de la terre. Le principe est très bon. Mais, la mauvaise répartition de la terre public débouche sur une usurpaiton de la terre public ) Usurpation de l'ager publicus. [...]