Histoire des institutions, empire romain, organisation politique, mérovingien, tradition romaine, organisation poliltique
la respublica Romana
Cette république est un mélange entre 3 régimes politiques déjà connus, ces trois systèmes de gouvernement sont : -Aristocratie : le pouvoir des meilleurs dont l'institution est le Sénat a le pouvoir d'Auctoritas. Le Sénat achève le vote de la loi avec son Auctoritas jusqu'en 339, puis après il va l'accorder a priori (avant vote de la loi).
-Monarchie : ce sont les magistrats qui exercent les anciens pouvoirs du roi, se les partagent. Des précautions sont prises pour que les magistrats ne se prennent pas pour des rois (1) les magistratures sont annuelles ; 2) la collégialité ; 3) les magistratures sont électives). Ils ont des pouvoirs nettement déterminés, délimités.
Les Romains ont compris qu'en temps de crise il n'est pas possible de dilué autant le pouvoir exécutif : il doit être exercé par un seul individu, c'est pourquoi les Romains ont créé une magistrature spéciale en temps de crise, un seul individu reçoit tous les pouvoirs : le « dictateur » pendant 6 mois.
Ces magistrats ont l'Imperium, et la Potestas (pouvoir de commandement, de contrainte, l'Imperium découle de la Potestas) et l'Auctoritas (pouvoir le plus prestigieux) -Démocratie : incarnés par les comices (assemblée populaire), ils votent la loi. Ont le dernier mot en matière législative à partir de 339, mais ça ne change rien, car jamais les comices refuseront d'approuver un texte ou le voter qui a reçu l'Auctoritas du Sénat.
[...] Les hommes libres doivent accomplir ce service de justice -le MUNDIUM, ou la MAINBOUR. C'est la contre partie du commandement, cad qu'il s'agit d'une protection qu'accorde le roi à certains individus (seul, isolé, donc les veuves orphelins etc Mais aussi accorder à certains lieux. Celui qui porte atteinte à cette protection s'expose à la vengeance et pour échapper à cette vengeance, le coupable doit payer le WERGELD. Et celui qui refuse de payer, on dit qu'il est FORBAN, cad qu'il s'est placé hors du ban royal et donc n'importe qui peut le mettre à mort ! [...]
[...] (empereur romain porte titre de César). Jésus répond : Il leur demande d'apporter la somme prévue pour l'impôt , et Jésus montre ses pièces aux chrétiens, or sur le revers est représenté César. Jésus désigne cette image de l'empereur et dit : rendez donc à César ce qui est à César et à Dieu ce qui est à Dieu (Matthieu les chrétiens doivent payer l'impôt à l'empereur en signe de leur soumission à son pouvoir politique. La soumission des chrétiens est indispensable parce que le pouvoir politique vient de Dieu (Tout pouvoir vient de Dieu). [...]
[...] Sous l'influence de sa femme il se convertit. A)la conversion et le baptême de Clovis 1)Cérémonie du baptême Clovis promet à Clothilde de se convertir s'il remporte la bataille contre les Alamans, et en 496 les Alamans sont vaincus. Clothilde appelle Remi pour qu'il procède à l'instruction catholique puis est baptisé le 25 décembre (soit 496 soit en 498), choix exceptionnel pour un baptême car il s'agit de marquer ainsi la fondation d'un royaume nouveau, alors que les baptêmes étaient d'ordinaire à paques ! [...]
[...] Elle va devenir un conservatoire, moyen de transmission des institutions et du droit romain. Les fidèles appartiennent à une seule et même unique et universelle, mais sur le plan local, ces chrétiens appartiennent à des E locales, qui ont chacune à leurs têtes, un évêque. A la tête de cette organisation, nous trouverons au moyen age le Pape, mais pour l'instant le pape n'a aucune autorité supérieure aux autres, ce sont les conciles (réunion d'évêque qui se prononce sur toutes les questions importante sur la foi, croyance, relation avec politique, et arrêtent les principes juridiques avec des canons). [...]
[...] Pour l'instant, il reçoit le soutient de l'Eglise catholique ce qui favorise sont rapprochement avec les gallos romains. Pour autant Clovis est encore bien un roi germanique, la légende du vase de Soisson : a chaque bataille, il autorise ses hommes de piller les Eglises, et pour le coup c'est l'Eglise de Soisson. L'évêque de la ville demande à Clovis de lui rendre le vase, Cette légende est racontée par un romain, un ecclésiastique (Grégoire de Tours) : un guerrier refuse que le vase soit rendu à l'évêque et ce refus unique suffit à faire échec à la volonté royale ce qui montre que le roi n'est absolument pas souverain, Clovis parvient tout de même a rendre le vase et un an plus tard il fracassera le crâne de celui qui s'était opposé à lui. [...]
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