Doctrines juridiques, doctrines politiques, doctrines économiques, empire romain, pensée du droit, Moyen-âge occidental
A partir du VIIIème siècle, les Grecs se sont étendus. Chez les Grecs, on accorde une importance assez grande au droit, à la loi et à la cité. La pensée grecque va porter un culte particulier à ceux qui ont été chargé au soin de la loi et de la cité. Ce sont les 7 sages qu'il faut noter, les législateurs. On note notamment Solon. La référence aux sages se retrouve chez Aristote. La sagesse, l'invention de ce qui va fonder la cité et la loi leurs sont attribués. Après une époque de crise, à Athènes, il y a eu une évolution vers égalité et démocratie. Solon a dit qu'il fallait rédiger des lois égales pour tous afin d'ériger une justice droite. Platon va réagir contre cela.
[...] Le premier est Scipion l'Africain, il est attiré par la connaissance du monde grec et il lutte pour l'hellénisation du monde romain. Il y a Scipion Emilien qui était le fils de Paul Emile qui avait vaincu le dernier roi de Macédoine à Pygdna. Il a hérité de la bibliothèque du dernier roi de Macédoine. Autour du second Scipion, il y a un certain nombre de grands penseurs notamment Paniétus et l'historien Polybe. Polybe Il a vécu vers la fin du IIIème s. et le début du IIème s. [...]
[...] l'ignorance volontaire : quelqu'un qui peut est doit savoir quelque chose. L'ignorance provient de la négligence et celle ci est considérée comme coupable et c'est elle qui va être la raison de l'imputabilité de l'acte à la fois moralement, mais aussi dans toutes les autres hyp de l'engagement de la resp. Dans cette hyp, il y a imputabilité de l'acte, mais il y a aussi involontaire relatif. L'acte produit ne vient pas du libre arbitre. Ce qui est moralement coupable c'est la négligence. [...]
[...] Ces régimes se caractérisent par la disparition de la vie de cité. La réflexion sur la cité disparaît elle aussi. La réflexion de Platon et d'Aristote n'a pas se place et les courants qui se développent insistent sur le retrait par rapport à la vie de cité. Ces courants (du moins les 2 derniers) vont aboutir à l'époque romaine. Section 1 : les cyniques Antisthène et Diogène de Synope sont les figures principales du cynisme. Le mot cynique vient de l'idée le chien en groupe Le cynique privilégie la nature, rejette le droit. [...]
[...] On a gardé beaucoup de ses œuvres dont ses fameuses confessions. Le thème des deux cités Ce thème a été mal compris pendant des siècles. En réalité, pour le comprendre, il faut lire le texte et non pas les commentaires. C'est le texte le plus abouti d'Augustin : la cité de Dieu. C'est le plus impressionnant par son volume, par son apport à la fois théologique et intellectuel. Pourtant, à 1ère vue, c'est une œuvre de circonstance. C'est la réponse qu'Augustin entend donner aux interrogation à la suite du sac de Rome. [...]
[...] - si la femme ne se remarie pas, elle se prostitue. Un autre texte dans l'évangile de Marc : la femme qui répudie son mari. Si elle le fait, et en épouse un autre, elle commet un adultère. Ce texte pose problème : Jésus n'a jamais été confronté à cette situation puisque chez les juifs, on n'envisage pas qu'une femme puisse répudier son mari. Dans le droit grec et romain, en revanche, la femme pouvait prendre l'initiative du divorce. Comment se pose Jésus par rapport à la loi de la répudiation ? [...]
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