constitutions françaises, héritage monarchique, thème républicain, rupture culturelle, autorité du gouvernement, econde République
Les peuples européens ont une histoire, une racine, une vision du monde communes. Ils sont d'origine indo-européenne et se sont répandus en Eurasie 3 000 à 4 000 ans avant J.C., par le biais différentes étapes migratoires.
En quoi y a-t-il la preuve de cette racine commune ? En quoi se manifeste-t-elle ?
Les linguistes ont pu apporter la preuve de cette racine commune en montrant que toutes les langues européennes proviennent d'une même racine et possèdent une étymologie commune, qui prouve qu'il existait au départ une langue initiale.
Ces peuples indo-européens avaient et ont aujourd'hui encore une approche du monde commune : ils ont la même conception du temps, dominée à la fois par l'éternel retour des saisons (vision cyclique) et par la volonté des hommes à fabriquer eux-mêmes leur futur (vision volontariste). Ce sont d'ailleurs les seuls peuples qui possèdent le futur antérieur dans leur conjugaison, car il se projettent dans le futur. Ce sont des peuples qui sculptent leur histoire : pour eux, elle n'est pas écrite, ils l'écrivent eux-mêmes. Ils sont convaincus qu'ils bâtissent leur
futur, qu'il n'y a pas un seul dieu mais des forces qu'ils ont pris l'habitude d'incarner dans un dieu.
Il y a une conception du Panthéon commune.
[...] Ce gouvernement provisoire veut convoquer une assemblée constituante, mais tous exige le suffrage universel direct et le décret du 5 mars 1848 écrit par le Conseil dʼEtat instaure la suffrage universel, demande la droit de vote pour les personnes agées de plus de 21 ans résidant depuis plus de 6 mois dans la commune, et à tous les français agés de plus de 25 ans sont éligibles sans obligation de résidence. On procède donc au suffrage universel. Il en sort une chambre modérée 900 députés républicains modérés légitimistes et 200 républicains démocrates socialistes. La France a choisi la modération avec chômeurs dans Paris qui sont astreints à des travaux dʼintérêt général. Paris reprend le pouvoir en juin, la chambre désigne le général Cavaignac pour rétablir lʼordre, en 3 jours, il y aura 5000 morts et 4000 blessés. Deux jours après le rétablissement de lʼordre apparaît le manifeste du parti communiste. [...]
[...] Dans cette série, il y aura dʼabord le rétablissement du droit dʼadresse. En 1863, lʼopposition marque à nveau un succès en envoyant un certain nb de députés républicains déterminés (emile olivier, jules favre, jules simon, thiers et gambetta). Thiers, après ces élections, prend la parole à la tribune. Dans son discours, il parle des libertés nécessaires, quʼil énumère au nombre de 5 : la liberté individuelle, de la presse, dʼélecteur et dʼélu, la liberté de la tribune. cʼest lʼétablissement du régime parlem quʼil souhaite. [...]
[...] Ce seront les plus . On y trouvera Danton Robespierre Marat mais aussi le duc dʼOrléans. La convention comptait 149 députés et on y trouve essentiellement de la noblesse de robe mais aussi beaucoup de bourgeois, et un ou deux artisans. Deux camps sʼaffrontent à lʼintérieur de cette convention : les jacobins (200 membres) et les girondins 5160) mais aussi au milieu le marais (le centre) : ce sont des gens qui ont commencé à acheter les biens nationaux des émigrés, du clergé. [...]
[...] Il y a donc une explication à l'origine de la démocratie : les citoyens se réunissent en assemblée sur le Pnix (colline d'Athènes). On parlait de l'eclesia = groupe qui était constant, plus présent à l'assemblée. lorsqu'il y avait des besoins de gouvernance, l'assemblée choisissait en son sein les arcomtes (ceux qui exercent les fonctions : justice, militaire . Le pouvoir appartenait aux citoyens réunis en assemblée, qui possédaient des pouvoirs politiques car ils devaient mourir pour la cité. La république romaine Rome a connu la république. [...]
[...] A la lecture de cette déclaration, on sʼaperçoit que lʼancien régime est balayé car il était fondé sur les trois ordres, la religion catholique existe toujours mais il y a désormais liberté de culte. Cʼest la fonction du citoyen qui sera désormais honorée. On quitte lʼaristocratie des hommes (des rangs) pour rentrer dans lʼaristocratie des fonctions (des talents). On supprime les corporations, les métiers étaient organisés en corporations, on supprime cette organisation artisanale cʼest en 1791 que la loi le chapelier supprimera les corporations. On supprime les ordres monastiques et les provinces en 1791 pour instaurer en 1792 les départements. [...]
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