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Ce commentaire de texte d'Alexis de Tocqueville : De la démocratie en Amérique, se veut être une analyse au coeur même de l'histoire des idées politiques sur les thèmes suivant : le régime politique américain du XVIIIe, le suffrage universel, la monarchie, la république, la révolution.
[...] Cependant, dans la démocratie on peut arriver à la même chose. En effet, l'égalité des conditions peut faire qu'à force on vote pour une seule classe de dirigeant, on met toute confiance en eux et finalement on arrive à renoncer à nos libertés pour que d'autres les exercent pour nous. L'égalité sans la liberté. Comme remède on peut respecter deux principes fondamentaux démocratiques : restaure des corps institutionnels intermédiaires qui occupaient une place centrale dans l'Ancien Régime (associations politiques, corporations Ca incite un renforcement des liens sociaux (car la démocratie veut l'ascension sociale de chacun donc coupe les liens de dépendance entre les citoyens, notre famille nous suffit) peuvent permettre à l'individu isolé face au pouvoir d'Etat, d'exprimer sa liberté et de résister à l'empire morale des sociétés. [...]
[...] Sans ses inconvénients ni dangers : la différence sociale, on ne peut rien changer à sa condition. Cette protection des citoyens entraine à l'inverse un manque de liberté et d'ascension sociale. Une oligarchie à terme. Enfin ce que sous entend Tocqueville c'est qu'un citoyen parvenu à une éducation en raison de l'égalité prônée par la démocratie, qui s'associe avec d ‘autres est éclairé et puissant qu'on ne saurait duper. Alors il parviendra à défendre ses droits particuliers auxquels il ne renoncera pas au profit d'une majorité gouvernante. Il constituera un contre pouvoir. [...]
[...] Le premier tome est une analyse descriptive de la démocratie aux États-Unis. Le second tome est une réflexion sur les formes particulières de la démocratie américaine. Cette réflexion s'élargit à des considérations générales sur la démocratie, notamment le risque de tyrannie de la majorité. L'œuvre traite de l'influence que la démocratie exerce sur la société civile, c'est-à-dire sur les mœurs, les idées et la vie intellectuelle. Pour résumer, on peut ainsi dire que le premier tome est plus géographique et le second plus sociologique et moral. [...]
[...] Il y a dans la démocratie une recherche du bien être matériel. Il y a une inégalité matérielle : certains réussissent mieux que d'autres. C'est un paradoxe, l'égalité des conditions qui mène à une inégalité économique. Chacun veut se démarquer (aspiration inégalitaire). On veut l'égalité dans le général et la distinction dans le particulier. II – Les bienfaits des associations de citoyens Dans un deuxième temps, Tocqueville analyse les répercutions des associations de citoyens sur les différents régimes : nous pourrions alors à la place d'une aristocratie former une sorte de méritocratie ( A capable de pallier les défauts de l'aristocratie d'une part et ceux de la démocratie ( B A – Une méritocratie citoyenne Tocqueville énonce qu'une nouvelle aristocratie n'est pas souhaitable. [...]
[...] Commentaire de texte : De la démocratie en Amérique, Tome 4e partie, chapitre 6 et 7 d'Alexis de Tocqueville. Le second volume de la démocratie en Amérique est moins novateur que le Tome il traite des mœurs et des sentiments sur la démocratie aux Etats-Unis. Deux idées principales sont traitées dans le second volume : le suffrage universel et le principe majoritaire. L'auteur Alexis de Tocqueville, né en 1805 et mort en 1859 appartient à la noblesse normande de tradition légitimiste. [...]
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