Longtemps, les différents fondements du droit ont été opposés. Les différentes sources ne sont en effet pas joignables sur un premier abord. Chaque source a traversé une période de l'histoire spécifique, qui lui est propre, et qui traduit la pensée et les idéaux du moment. Tout comme le droit lui-même, les fondements du droit évoluent dans le temps, variant d'un idéal à une matière posée et concrète…
Ainsi donc, de l'antiquité grecque à nos jours, les sources du droit ainsi que ses fondements font parler d'eux. Une question se pose alors, quels sont les différents fondements du droit ?
[...] Une question se pose alors, quels sont les différents fondements du droit ? Nous répondrons à cette question en plusieurs étapes, nous verrons qu'il y en a plusieurs fondements, le jusnaturalisme et le juspositivisme I. Les fondements idéalistes au droit Dans les différents fondements du droit nous pouvons distinguer le fondement idéaliste, qui découle donc d'un idéal politique, le premier ouvrage a parlé du jusnaturalisme, doctrine idéaliste du droit naturel est Antigone, le personnage d'Antigone dans cet ouvrage distingue la loi naturelle, celle venant de dieu, et la loi légale, celle des hommes. [...]
[...] Selon la conception large, développée par Ph. Jestaz, le droit naturel a une quête d'universel, mais tendrais en rentré dans le droit positif. Ici, le droit naturel n'est pas préexistant, il n'est pas donné. Mais dans cette conception le droit naturel n'est pas opposé au droit positif, le droit naturel est imprégné par l'aspiration à la justice Les critiques Cette théorie du droit naturel à essuyer de nombreuses critiques, tous composés d'un argument pouvant être considéré comme valable Deux critiques ont été retenues, la critique de l'irréalisme et la critique de l'inutilité. [...]
[...] ATIAS : L'objectivité laquelle les juristes doivent aspirer, est seulement une subjectivité consciente d'elle-même On critique aussi l'impossibilité de résistance à la loi injuste, en effet le positivisme étatique interdit la résistance à la loi injuste, qui pourrait devenir l'instrument de l'arbitraire. Exemple : Après la 2de Guerre mondiale, pour justifier l'holocauste les criminels se sont justifiés par l'obéissance aux droits positifs. Une dernière critique d'adresse tout particulièrement au juspositivisme sociologique, en effet le droit ne doit pas tout le temps refléter les mœurs, certes il doit s'adapter a leurs évolutions, mais il doit aussi et surtout les guidés ! [...]
[...] La deuxième notion du droit naturel critiqué est la notion de Fondement de la résistance à l'oppression (cf. Art2 DDHC 1789 droit de résistance à l'oppression) Le courant justpositiviste trouve que cette notion est totalement dépourvue de portée politique. II. Les fondements positivistes du droit En quasi opposition avec le droit naturel, ce droit est fondé sur le fait que la règle de droit est elle-même fondée si elle est conforme à une réalité existent Toutes les idées du positivisme sont liées par le fait qu'ils rejettent tous l'idée du droit naturel et pour eux la loi s'impose et se respecte par le simple fait que c'est la loi. [...]
[...] Cette école à influencer en France la révolution et la 18éme siècle, la révolution à promus cette doctrine dans la Déclaration des droits de l'homme et du citoyen cette déclaration est la traduction de la notion de droit naturel, en effet, les Droits de l'Homme sont immuables, inaliénable, et le gouvernement se doit de les faire respecter. Les conceptions contemporaines sont ou restrictives ou larges. La conception restrictive est développée par l'allemand Stammler puis reprise en France par Saleilles. Selon cette conception, il y a bien une idée d'Idéal supérieur, mais à une époque donnée, et pour les mêmes peuples, le droit naturel perd donc son caractère immuable et universel, il évoluerait selon un lieu donné et une époque donnée. [...]
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