Criminologie, prévenir la criminalité, prévention générale, préventions spéciales, composantes de la prévention spéciale
Aujourd'hui nous allons nous poser la question « est-ce que les sanctions ont un effet de prévention ? ». La prévention se fait par la sanction. Les sanctions pénales ont, entre autres, le but de dissuader les individus de commettre des infractions. On doit dissuader les individus. Pour cela nous devons distinguer deux types de dissuasions. La première est pour celui qui a subi la sanction, pour qu'il ne récidive pas (= prévention spéciale). La deuxième s'adresse à tout le monde (=prévention générale) on va insuffler en nous la peur du gendarme qui est la peur de sanctionner. On va créer le sentiment d'insécurité. Cela est le principe de la dissuasion.
[...] On aura le même type de courbe. La littérature de la prévention spéciale va nous dire que la célérité va jouer aussi un rôle qui concerne la rapidité de la condamnation. C'est le fait d'infliger une peine tout de suite après. Certains considèrent que l'être humain (béhaviorisme) est comme le chien et certains disent que c'est autre chose ( commutivisme). La science ne le démontre pas car nous n'avons jamais eu des tests. Schéma libération : de récidives concernent la récidive générale. [...]
[...] Criminologie comment prévenir la criminalité ? Aujourd'hui nous allons nous poser la question est-ce que les sanctions ont un effet de prévention ? La prévention se fait par la sanction. Les sanctions pénales ont, entre autres, le but de dissuader les individus de commettre des infractions. On doit dissuader les individus. Pour cela nous devons distinguer deux types de dissuasions. La première est pour celui qui a subi la sanction, pour qu'il ne récidive pas prévention spéciale). La deuxième s'adresse à tout le monde (=prévention générale) on va insuffler en nous la peur du gendarme qui est la peur de sanctionner. [...]
[...] Puis un jour, une assurance en Suisse a décidé dans ses conditions générales de payer plus que la moitié des frais d'accident pour les personnes qui ne portaient pas une ceinture lors d'un accident. Le Tribunal Fédéral a dit que cela ne posait pas de problème. Il a existé un moment, après les campagnes de prévention, où les assurances ont dit qu'elles prenaient en charge ses assurés qu'à 50% des frais. Cela n'a rien changé. Le Conseil Fédéral a donné l'obligation par voie d'ordonnance de porter la ceinture. [...]
[...] On veut éviter la récidive. Cette prévention spéciale, part de la conception de base que toutes personnes qui commettent une infraction doit tenir le poids de son infraction pour éviter qu'elle recommence. La notion de récidive : En Suisse, on a un graphique sur lequel on va pouvoir introduire le taux de récidives à travers le temps. Les statistiques nous disent que le taux de récidive se place à 50%. Cela ne signifie rien car avant de dire des choses comme cela. [...]
[...] Les données françaises nous donnent des indications. Cette recherche française va prendre en compte toutes les personnes libérées de la prison et au moment de la libération avait au moins eu 3 ans de privation de liberté. On va voir leur taux de récidive général d'abord. C'est la première définition de la récidive. Une personne a commis une nouvelle affaire qui a conduit à une condamnation dans les 4 ans après leur condamnation. Cela est le taux de récidive dont nous parlons toujours. [...]
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