Criminologie, auteurs des infractions, sur-représentation masculine, infraction, hommes, femmes
On va se poser la question de savoir qui sont les auteurs d'infractions, et lorsque l'on pose cette question et que l'on est du côté du café du commerce généralement on dira que c'est les jeunes, les étrangers, les pauvres. On va essayer de déterminer qui sont finalement les auteurs types d'une infraction pénale ici et ailleurs.
Cette question a fait l'objet de premières analyses statistiques en 1831. Adolphe Quetelet. En 1831, il parait un texte dans lequel Quetelet montre que finalement les personnes qui commettent le plus de crimes sont des jeunes hommes. Lorsque l'on refait cette statistique n'importe où n'importe quand, on retrouve toujours la même chose. ; on observe sur le graphique que les hommes commettent beaucoup plus d'infractions pénales que les femmes dans toutes les classes d'âge et on observe aussi que plus l'âge avance, moins on commet d'infractions. Il y a une surreprésentation des jeunes hommes
[...] Criminologie Qui sont les auteurs des infractions ? On va se poser la question de savoir qui sont les auteurs d'infractions, et lorsque l'on pose cette question et que l'on est du côté du café du commerce généralement on dira que c'est les jeunes, les étrangers, les pauvres. On va essayer de déterminer qui sont finalement les auteurs types d'une infraction pénale ici et ailleurs. Cette question a fait l'objet de premières analyses statistiques en 1831. Adolphe Quetelet. En 1831, il parait un texte dans lequel Quetelet montre que finalement les personnes qui commettent le plus de crimes sont des jeunes hommes. [...]
[...] Il y a 15 ans, la victime type c'était le jeune homme car il sortait plus souvent. Aujourd'hui la victime type a changé ; les connaissances scientifique aujourd'hui nous montrer que l'on s'est trompé, que c'est une personne qui souffre de violence domestique. C'est plutôt les femmes jeunes ; elles s'arrêtent à travers l'âge car on se sépare à un moment donné. La victime type est aujourd'hui la jeune femme car elle reste à la maison avec ses connaissances qui plus sont machistes. [...]
[...] Sur le graphique, on voit qu'il y a un pic de criminalité autour des 25 ans. Première hypothèse explicative, le traitement de faveur : est-ce que les vieux sont traités plus favorablement par notre système pénal. Bien sur que oui. Si on est commandant de la police, est-ce que l'on envoie nos patrouilles devant le Tee Room ou la discothèque ? Il y a clairement un traitement de défaveur des jeunes que l'on va chercher d'avantage chez les jeunes. Dans le cadre judicaire, les sanctions que l'on va infliger au mineurs vont être différentes. [...]
[...] En dernier vient la nationalité. Le terme est grisé sur le graphique, car cela n'a pas toujours été le cas. Il y a 15 ans, il y avait un peu de plus car la migration provenait d'un pays en guerre et quant on vient d'un pays en guerre, il y a un certain nombre d'habitudes, et on va avoir des aptitudes plus violentes, il y a un effet de brutalisation. Quant ensuite un individu d'un état en guerre migre, il va importer cette aptitude et cela va faire en sorte qu'il va parfois agir d'une manière inadaptée pour le pays d'accueil. [...]
[...] Par exemple le droit de vote, mais aussi le droit de conduire. Lorsque l'accès au volant nous fait causer un accident envers quelqu'un, par exemple une lésion corporelle, cela relève du pénal et pas seulement de la LCR. Il y a une augmentation de la criminalité féminine car il y a émancipation. Mais à la fin des années 80, l'hypothèse de l'émancipation ne tient plus car la criminalité des femmes chute. Elle ne montre pas un parallélisme absolu entre l'émancipation et l'augmentation du taux de criminalité. [...]
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