APPEL A LA COMMUNAUTE INTERNATIONALE POUR LA PAIX DURABLE ET LA RECONNAISSANCE DE MADAGASCAR D'APRES L'IDEE ORIGINALE DE RAHOLINARIVO Solonavalona Paolo Emilio
APPEL A LA COMMUNAUTE INTERNATIONALE POUR LA PAIX DURABLE ET LA RECONNAISSANCE DE MADAGASCAR D'APRES L'IDEE ORIGINALE DE RAHOLINARIVO Solonavalona Paolo Emilio
Les Jeunes Malagasy, associés au sein de la Plateforme Nationale des Jeunes pour le Développement, sans distinction,
Ayant à l'esprit la solidarité, l'entraide et la persévérance pour résoudre les problèmes engendrés par la crise dans tous les domaines.
Conscients que le dénouement de la crise, est un processus global pacifique, économique, social, culturel, juridique et politique qui vise à améliorer sans cesse le bien-être de plus grand nombre à Madagascar, sur la base d'une participation active, libre et significative de citoyens, politiciens, techniciens, de la société civile, notables, des églises, de la communauté internationale à vocation régionale et universelle.
Rappelant que la Population Malagasy est l'amie de tous les Peuples du monde entier, et a les mêmes droits, libertés et devoirs qu'eux.
Rappelant qu'il y a déjà une initiative de processus de paix « MALGACHO-MALGHACHE » y afférant.
Rappelant aussi que la résolution de cette crise est parmi les priorités des priorités de l'Etat Malagasy, du Peuple Malagasy, surtout la Plateforme Nationale de Jeunes pour le Développement.
Rappelant ainsi que la France étant un pays redevable au peuple malagasy vu les antécédents historiques, a un devoir, voire une obligation de redresser Madagascar après plusieurs décennies de colonisation et d'exploitation, et doit respecter le principe de base de leur révolution suivant sa constitution de 1791 « La nation française renonce à mener de guerres de conquêtes et jamais elle ne tournera ses armes contre la liberté d'un peuple », suivie de celle de 1793 « Le peuple français est l'ami et allié naturel des peuples libres ».
Rappelant enfin que l'ONU a déjà dépense plusieurs milliards de dollars pour les maintiens et restaurations de paix (FUNU I et II en Egypte (1956-1967 et 1973-1979 pour 660 millions de dollars ; ONUC au Congo (1960-1964) 400 millions de dollars ; GANUPT au Namibie (1989-1990) 369 millions de dollars ; UNAVEM I, II, III en Angola (1988-1997) 1 milliards de dollars, MONUA (1997-1999) 294 millions de dollars ; ONUMOZ à Mozambique (1992-1994) 493 millions de dollars ; ONUSOM I et II à Somalie (1993-1995) 1,6 milliards de dollars ; MINUSIL à Sierra Leone (1999-2005) 2,7 milliards de dollars sans parler les autres interventions.
Considérant que le dénouement de cette crise contribuerait à créer de conditions propices au développement, à la paix et à la tranquillité du Peuple Malagasy.
Préoccupés à la recherche de «stabilité », de la «paix » et de la « reconnaissance » pour restaurer une « vraie démocratie », un vrai « Etat de droit » pour organiser des élections démocratiques, sincères, équitables, transparentes, régulières, crédibles, libres et honnêtes vers le véritable changement.
Exprimant le désir et la volonté de tous les Jeunes Malagasy d'éliminer, voire éradiquer toutes sortes de pratiques politiques odieuses.
Convaincus que la non répétition ou l'éradication de crises politiques cycliques, est une condition sine qua non de bien-être, de la prospérité matérielle et du progrès du pays et du Peuple Malagasy entier.
Convaincus aussi que même l'un dixième de ces dépenses précitées peut aider le Pays Malagasy d'organiser des élections démocratiques, sincères, équitables, transparentes, régulières, crédibles, libres, honnêtes et périodiques.
Reconnaissant que l'Etat Malagasy, la Commission de l'Océan Indien, la SADC, l'Union Africaine, l'ONU ont le devoir sacré d'assurer aux Peuples Malagasy une vie pacifique, privée de toutes contraintes et de toutes hostilités :
1- Proclament solennellement que le Peuple Malagasy tout entier a droit à la paix suivant les dispositions de la Résolution 39/11 de l'Assemblée Générale des Nations Unies, comme tous les Peuples du globe,
2- Déclarent solennellement que préserver le droit de la population à la paix et promouvoir la réalisation de ce droit inaliénable constituent une obligation fondamentale pour tout et chacun,
3- Soulignent que, pour assurer l'exercice du droit de la population à la paix, il est indispensable que cet appel à la « reconnaissance » et à l' « aide internationale » tende à restructurer, à démocratiser, à stabiliser, à pacifier, à développer Madagascar, pays membre de droit, de la Commission de l'Océan Indien, de la SADC, de l'Union Africaine, de l'ONU,
4- S'engagent à fournir de documents juridiques vérifiables prouvant l'existence de l'oppression et les violations manifestes et répétées da la Constitution et du droit positif, de droits de l'Homme et de libertés fondamentales à Madagascar,
5- S'engagent aussi à prouver qu'il n'a pas eu « Coup d'Etat » ici à Madagascar mais seulement une « résistance à l'oppression » et une « lutte pour la liberté et le changement ».
6- Lancent un appel à la paix à tous les responsables, politiciens sans distinction, au « Pouvoir Transitoire », envers les « trois mouvances » et les autres « protagonistes ».
7- Lancent un appel de solidarité et à la fraternité aux sociétés civiles, aux notables, aux églises malagasy de procéder à l'arbitrage impartial.
8- Lancent aussi un appel à la cessation immédiate de la prise en otage du peuple Malagasy, toujours victimes des actes irresponsables visant à perdurer la crise.
9- Lancent ainsi un appel à la COI, le COMESA, la SADC, de l'UA, l'Union Européenne, à l'ONU ; pour qu'ils contribuent par tous les moyens à assurer l'exercice du droit de Peuple Malagasy à la paix suivant la Résolution 39/11, par le biais de la « reconnaissance régionale et internationale », pour éviter le pire comme dans les situations dans certains pays d'Afriques et Arabes.
10- Enfin faisant appel au peuple Malagasy souverain de prendre en main sa destiné par le biais des élections.
[...] Convaincus que la non répétition ou l'éradication de crises politiques cycliques, est une condition sine qua non de bien-être, de la prospérité matérielle et du progrès du pays et du Peuple Malagasy entier. Convaincus aussi que même l'un dixième de ces dépenses précitées peut aider le Pays Malagasy d'organiser des élections démocratiques, sincères, équitables, transparentes, régulières, crédibles, libres, honnêtes et périodiques. Reconnaissant que l'Etat Malagasy, la Commission de l'Océan Indien, la SADC, l'Union Africaine, l'ONU ont le devoir sacré d'assurer aux Peuples Malagasy une vie pacifique, privée de toutes contraintes et de toutes hostilités : Proclament solennellement que le Peuple Malagasy tout entier a droit à la paix suivant les dispositions de la Résolution 39/11 de l'Assemblée Générale des Nations Unies, comme tous les Peuples du globe, Déclarent solennellement que préserver le droit de la population à la paix et promouvoir la réalisation de ce droit inaliénable constituent une obligation fondamentale pour tout et chacun, Soulignent que, pour assurer l'exercice du droit de la population à la paix, il est indispensable que cet appel à la reconnaissance et à l' aide internationale tende à restructurer, à démocratiser, à stabiliser, à pacifier, à développer Madagascar, pays membre de droit, de la Commission de l'Océan Indien, de la SADC, de l'Union Africaine, de l'ONU, S'engagent à fournir de documents juridiques vérifiables prouvant l'existence de l'oppression et les violations manifestes et répétées da la Constitution et du droit positif, de droits de l'Homme et de libertés fondamentales à Madagascar, S'engagent aussi à prouver qu'il n'a pas eu Coup d'Etat ici à Madagascar mais seulement une résistance à l'oppression et une lutte pour la liberté et le changement Lancent un appel à la paix à tous les responsables, politiciens sans distinction, au Pouvoir Transitoire envers les trois mouvances et les autres protagonistes Lancent un appel de solidarité et à la fraternité aux sociétés civiles, aux notables, aux églises malagasy de procéder à l'arbitrage impartial. [...]
[...] Rappelant qu'il y a déjà une initiative de processus de paix MALGACHO-MALGHACHE y afférant. Rappelant aussi que la résolution de cette crise est parmi les priorités des priorités de l'Etat Malagasy, du Peuple Malagasy, surtout la Plateforme Nationale de Jeunes pour le Développement. Rappelant ainsi que la France étant un pays redevable au peuple malagasy vu les antécédents historiques, a un devoir, voire une obligation de redresser Madagascar après plusieurs décennies de colonisation et d'exploitation, et doit respecter le principe de base de leur révolution suivant sa constitution de 1791 La nation française renonce à mener de guerres de conquêtes et jamais elle ne tournera ses armes contre la liberté d'un peuple suivie de celle de 1793 Le peuple français est l'ami et allié naturel des peuples libres Rappelant enfin que l'ONU a déjà dépense plusieurs milliards de dollars pour les maintiens et restaurations de paix (FUNU I et II en Egypte (1956-1967 et 1973-1979 pour 660 millions de dollars ; ONUC au Congo (1960- 1964) 400 millions de dollars ; GANUPT au Namibie (1989-1990) 369 millions de dollars ; UNAVEM II, III en Angola (1988-1997) 1 milliards de dollars, MONUA (1997-1999) 294 millions de dollars ; ONUMOZ à Mozambique (1992-1994) 493 millions de dollars ; ONUSOM I et II à Somalie (1993-1995) 1,6 milliards de dollars ; MINUSIL à Sierra Leone (1999-2005) 2,7 milliards de dollars sans parler les autres interventions. [...]
[...] Conscients que le dénouement de la crise, est un processus global pacifique, économique, social, culturel, juridique et politique qui vise à améliorer sans cesse le bien-être de plus grand nombre à Madagascar, sur la base d'une participation active, libre et significative de citoyens, politiciens, techniciens, de la société civile, notables, des églises, de la communauté internationale à vocation régionale et universelle. Rappelant que la Population Malagasy est l'amie de tous les Peuples du monde entier, et a les mêmes droits, libertés et devoirs qu'eux. [...]
[...] Lancent aussi un appel à la cessation immédiate de la prise en otage du peuple Malagasy, toujours victimes des actes irresponsables visant à perdurer la crise. Lancent ainsi un appel à la COI, le COMESA, la SADC, de l'UA, l'Union Européenne, à l'ONU ; pour qu'ils contribuent par tous les moyens à assurer l'exercice du droit de Peuple Malagasy à la paix suivant la Résolution 39/11, par le biais de la reconnaissance régionale et internationale pour éviter le pire comme dans les situations dans certains pays d'Afriques et Arabes. [...]
[...] Considérant que le dénouement de cette crise contribuerait à créer de conditions propices au développement, à la paix et à la tranquillité du Peuple Malagasy. Préoccupés à la recherche de «stabilité de la «paix et de la reconnaissance pour restaurer une vraie démocratie un vrai Etat de droit pour organiser des élections démocratiques, sincères, équitables, transparentes, régulières, crédibles, libres et honnêtes vers le véritable changement. Exprimant le désir et la volonté de tous les Jeunes Malagasy d'éliminer, voire éradiquer toutes sortes de pratiques politiques odieuses. [...]
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