Conflit israelo palestinien vision du monde question d'Israël guerre religion conflit territorial
Depuis le début de notre ère les hommes se sont toujours battus pour leurs terres, leurs valeurs, leurs principes et leurs identités. En effet de nombreuses batailles et de nombreux massacres ont été nécessaires afin de créer un Etat. De nos jours, cette situation n'a pas réellement changé, on peut constater qu'encore en 2010 de nombreux conflits éclates à différents endroits du globe, pour des désaccords de territoires, de religions ou de richesse comme par exemple le conflit qui oppose les Etats-Unis et le monde Arabe (Afghanistan et Irak). C'est l'une de ces situations que nous allons tenter d'examiner, de développer et de commenter : celle d'Israël.
Le conflit israélo-palestinien fait référence au conflit qui oppose les Israéliens et les Palestiniens au Proche-Orient depuis 1948, mais qui commença en 1920 quand les nationalistes juifs et arabes commencèrent à s'affronter en Palestine mandataire.
Il a fait l'objet de près d'une centaine de résolutions du Conseil de Sécurité et de l'Assemblée générale, ainsi que de plusieurs tentatives de négociations et de conférence de Paix. Il est perçu différemment selon les sociétés, qui sont elles-mêmes influencées par les médias telles que la presse, la télévision ou encore la radio.
On peut alors se demander quelle est la vision du monde face à la question d'Israël, et comment est perçu ce conflit à travers les différentes régions ?
[...] La vision de la légitimité d'Israël est là encore touchée, en défaveur de ce dernier, cependant les avis divergent selon les pays, qui à leur tour influence en grande partie la population. (Article du site de l'Association France-Palestine : http://www.france-palestine.org/article13929.html) Le contenu de l'article du site de l'Association France Palestine nous propose une vision d'une partie de la population française solidaire avec le peuple Palestinien, une vision qui n'est donc plus « neutre » à contrario de la presse écrite. L'article reprend les mêmes faits reconnu par le journal français « Le Monde » tout en qualifiant ces derniers par des mots plus durs et plus profonds. [...]
[...] Le président Yasser Arafat, bloqué dans son quartier général par le siège de l'armée Israélienne. Des milliers de garçons engagés dans l'armée dès le plus jeune âge dans les « camps d'été » et les catastrophes liées au terrorisme Palestinien. Ces deux sources de média françaises nous présente ici une vision dégradante pour le peuple Israélien, accusé de ce contexte humanitaire déplorable, vision encore une fois, non partagé par le gouvernement Hébreux, insistant sur le fait que tous les besoins primaires sont disponibles. [...]
[...] Article Courrier International 26 novembre 2009: « Pro-Israël et Pro-Obama ». Article Le Figaro 2 novembre 2009 : « Benyamin Nétanyahou gagne le soutien de Hillary Clinton ». Article L'express 11 juin 2009 : « Obama, une vision pour deux mondes ». Article Libération.fr : Historique de l'Israël « Spécial Israël : 50 d'Histoire ». [...]
[...] En effet, l'enseignement de la shoah était utilisé comme « justification absolue » de l'Etat d'Israël et de ses pratiques. Les Israéliens se considèrent toujours comme « victimes innocentes » malgré ce que nous avons sous les yeux en ce moment : une occupation sans limite, violente qui a engendré le terrorisme Palestinien au cœur des foyers de la région. Point de vue politique, militaire et humanitaire : D'un point de vue militaire, le constat est tout autant critique d'après l' (Article libération du 16 septembre 2009) En effet, l'Israël est accusé, par le rapport Goldstone (du nom de son auteur Richard Goldstone, président de la mission du Conseil des droits de l'Homme de l'ONU), de crimes de guerre voire de crime contre l'humanité lors de l'opération « Plomb durci » à Gaza de décembre 2008 à janvier 2009. [...]
[...] C'est le président Obama qui ouvre le bal le 4 juin au Caire en Egypte, se présentant comme membre actif dans le processus de paix. Dans son discours, le « locataire de la maison Blanche »pose les bases du conflit et du dilemme face à la légitimité d'Israël. D'après lui, elle doit être reconnue par la Palestine comme l'Etat d'Israël par l'état palestinien. Comme nous dit l'article, Obama ne se contente pas de se poser comme « intermédiaire » ou « facilitateur ». [...]
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