Droit, qualité de membre de l'ONU, non-membres, Charte de l'ONU, traité institutif, statut d'observateur à l'ONU
La qualité de membre originaire de l'ONU est prévue par la Charte. C'est la Charte qui distingue les membres originaires et les autres membres. La charte définit les membres originaires par la référence à deux éléments : sont les membres originaires ceux qui ont signés la déclaration des Nations Unies du 1 er janvier 1942 et/ou ceux qui ont participé à la conférence de San Francisco. On voulait considérer des États comme membre originaire qui n'avaient fait que l'un ou l'autre. On voulait considérer comme membre originaire la Pologne mais celle ci n'a pas participé aux travaux de la conférence de San Francisco car les difficultés liées à l'établissement d'un gouvernement polonais en 1945 qui ont empêché celle-ci de participer à la conférence de San Francisco alors que celle ci avait participé à la déclaration de 1942
[...] C'est la Charte qui distingue les membres originaires et les autres membres. La charte définit les membres originaires par la référence à deux éléments : sont les membres originaires ceux qui ont signés la déclaration des Nations Unies du 1 er janvier 1942 et/ou ceux qui ont participé à la conférence de San Francisco. On voulait considérer des États comme membre originaire qui n'avaient fait que l'un ou l'autre. On voulait considérer comme membre originaire la Pologne mais celle ci n'a pas participé aux travaux de la conférence de San Francisco car les difficultés liées à l'établissement d'un gouvernement polonais en 1945 qui ont empêché celle-ci de participer à la conférence de San Francisco alors que celle ci avait participé à la déclaration de 1942. [...]
[...] Difficulté s'agissant des micro-États : la mission diplomatique monégasque ou d'Andorre doit comprendre probablement un ambassadeur, peut être même accrédité auprès d'un autre État, quoi qu'il en soit le diplomate en question peut être aidé d'un ministre conseiller et d'une secrétaire or quand ils sont si peu nombreux pour traiter tous les documents produit par l'ONU c'est très difficile pour exercer son droit de vote correctement au sein de l'ONU car c'est très dur pour peu de personnes de regarder la documentation produite par l'ONU. Il faut donc des structures permanentes, organisées et nombreuses. De plus quand ces diplomates sont habilités auprès de plusieurs organisations c'est quasiment impossible de s'informer correctement sur la documentation de l'ONU et donc la participation des diplomates en fonction des informations n'est pas totalement libre et éclairé. [...]
[...] Il faudrait une procédure parallèle à l'admission : il faudrait la proposition du conseil de sécurité et la décision de l'assemblée générale et donc le veto des membres permanents peut être mis en place. L'exclusion est donc très difficile à envisager car il y aura toujours le veto d'un membre permanent. La deuxième raison c'est que ce n'est pas la logique de l'ONU. L'ONU est un endroit dans lequel les États sont présent en vue de faciliter leur coopération entre les États et le règlement des conflits entre les différents États. Il est plus important de discuter avec un États plutôt que de l'exclure même si cet État viole les droits de l'homme. [...]
[...] L'URSS essayait de consolider ses frontières occidentales qui sont discutables. La deuxième raison c'est que l'URSS ne souhaitait pas avoir qu'une seule voix à l'ONU. Certes elle avait un siège de membre permanent à l'ONU au conseil de sécurité de l'ONU mais quand au sein de l'assemblée générale de l'ONU elle n'avait qu'une voix et elle considérait qu'elle devait obtenir plus de voix du fait de la répartition des voix entre l'ouest et l'est au sein de l'assemblée générale. Les deux États en question n'ont donc pas eux besoin d'adhérer à l'ONU car ils en étaient déjà membre suite à la chute de l'URSS. [...]
[...] La chine républicaine a continué à exister à Taïwan après que les communistes aient pris le pouvoir en chine. Donc jusqu'en 1971 était membre originaire de l'ONU avec un siège permanent au conseil de sécurité la Chine républicaine réfugié sur l'île de Taïwan tandis que la Chine populaire n'était pas membre. En 1971 l'assemblée générale a décidé de reconnaître les pouvoirs des délégués de la république populaire de chine comme étant le représentant de la chine et la reconnaissance des pouvoirs consiste à vérifier que les mandataires présents sont vraiment les représentants de l'État qui est membre de l'OI. [...]
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