Droit privé européen, pensée allemande, impérialisme germanophile, science juridique franco-allemande, idéologie allemande
En France, au 19ème siècle apparaissent les partis politiques que l'on connaît. Le 20ème siècle se joue sous la monarchie de juillet, la période peut-être la plus importante sociologiquement car on fonctionne presque aujourd'hui comme à cette époque.
Châteaubriant, le grand monsieur du romantisme français, pour lui cela est une idéologie. Pour Stendhal, le romantisme est une technique. L'époque romantique est une époque désespérée au sens propre, après la monarchie de juillet, l'histoire s'arrête.
Première moitié du 19ème = intégration à la philosophie du droit de l'idéologie allemande de façon officielle. On a essayé de la comprendre, on l'a transmise et on a essayé de l'adapter.
Durant la 1ère moitié du 19ème siècle, on appelle cela la pensée historique. Qui a appris à penser historiquement aux français ? C'est Hegel. Avant, il y avait Kant, il y avait à cette époque en France les idéologues, c'était un groupe de savant qui s'étaient entichés de modifier scientifiquement l'histoire de France.
[...] Une corporation puissante tenait les imprimeries entres ses mains, c'était les fabricants en caractère d'imprimerie. Ils contrôlaient les journaux ces imprimeurs. Pour Guizot l'indépendance de la presse n'est pas un problème dés lors qu'on déclenche les fondeurs en caractère d'imprimerie qui sont des capacitaires très riches. En plus d'un point de vue théorique l'unanimité de l'opinion autour problème politique traité par le milieu capacitaire, rend tout débat oiseux, en plus, la collégialité de l'activité journalistique procure une expertise de l'action gouvernementale. [...]
[...] Guizot souligne que tout homme jouit par essence de droits civils, cependant, certains hommes sont pour reprendre Orwel plus égaux que d'autres. Même si la Nature qui confère à tous des droits intangibles doit être respectée, la Providence distribue aléatoirement un droit qui fonde une inégalité, la capacité à participer à la vie d'une société politique. Pour lui, la technique démocratique n'est rien d'autre qu'une manière de sélectionner non pas des représentants, mais des élites. Le gouvernement d'un pays dirigé par des capacitaires doit exprimer les préoccupations des capacitaires et donc être à la vie politique ce que les capacitaires sont à la vie sociale à savoir savants mais aussi dominants. [...]
[...] Kant disait il y a 2 choses qui m'émerveille sur terre, le ciel étoilé au dessus de moi et la loi morale en moi en disant cela, il faisait référence à 2 concepts fondamentaux des lumières = la raison universelle (ciel étoilé), l'individu est au centre du monde il a donc c'est l'homme qui peut organiser le monde qui l'entoure en nommant les éléments du monde extérieur (c'est une chose = élément du monde extérieur). Le monde est extérieur au sujet, ils sont différents. Alors qu ‘avec Hegel, le sujet tend à évoluer jusqu'à se confondre avec le monde. [...]
[...] En elle doit être naturelle Grimm considère que ce n'est pas le romantisme de Savigny qui permet de savoir ce qui est allemand parce que sa démarche relève trop de l'esprit ; Pour Grimm l'approche du V doit être presque sensuelle. Savigny entretient un amour platonique avec l'Allemagne alors que Grimm entretient une relation quasi charnelle avec son pays. Grimm ne veut pas se faire un idée de ce qui est allemand, il veut le pratiquer. Pour Savigny un droit intellectuel ne pose aucun problème, pour Grimm il est évident que cette conception du droit l'exclu lui, de sa mission de juriste de participer à la création du droit. Pour lui le vrai droit c'est celui que nous pratiquons. [...]
[...] Christianisme = individu égaux devient dieu, autrement dit devant la raison, n'existe plus. Pour Kuinet, les doctrinaires réduisent le peuple ou plutôt le peuple nation à la classe capacitaire, les masses sont exclues même du concept de peuple et presque de celui de l'humanité. Chapitre 2 : Un science juridique franco-allemande : Au 19 e siècle, la France est déjà un vieil Etat depuis 1453 (fin de la guerre de 100 ans donc début de la fin de la féodalité en France, le pouvoir se dépersonnalise et fin du Moyen âge à cause de Constantinople). [...]
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