Economie du travail, rémunération des salariés, analyse du marché du travail, segmentation, flexibilité, emplois atypiques
La plus grande partie des travailleurs est salariées, en économie du travail on s'intéresse presque exclusivement aux salariés. Cette partie sera plus accès sur les débats actuels. On va voir trois grands thèmes, le premier sera accès sur la rémunération des salariés, le second : segmentation et flexibilité, on parlera beaucoup des emplois atypiques, le troisième sera sur les politiques de l'emploi.
[...] Epargne préalable, endettement, succession donation et inflation qui procure des plus values. La composition du patrimoine brut des ménages (sans dettes) : on a à la fois les actifs physiques (logement, immeubles, terres, locaux et machines les actifs incorporels : brevets, fonds de commerces (ne concerne pas les salariés), les actifs financiers compris monétaire) : les dépôts à vu, à termes, valeurs mobilières, les livrets jeunes, comptes épargnes logements, Mais comment évaluer le patrimoine ? Ce n'est pas facile car les divers éléments qui le composent ont été acquis à des dates différentes. [...]
[...] Il garantit aussi de hauts salaires. Du côté des travailleurs et des syndicats : En contre partie, il y a de la part des travailleurs et des syndicats obéissance et acceptation de cette organisation de travaille. Cela garanti la paix sociale. La relation d'emploi fordiste les règles d'allocation de la main d'œuvre : la logique de poste point de départ : on raisonne en termes de postes et non d'individus On parle de logique de poste dans la mesure où la pratique de gestion place le poste et non l'individu au centre de l'organisation. [...]
[...] Phénomène d'individualisation des salaires. II les conséquences de la flexibilité : les emplois atypiques On distingue les emplois dits typiques (norme CDI à temps plein) des emplois atypiques (forme particulières d'emplois). Les emplois précaires font partie des emplois atypique mais ne sont pas synonyme dans les emplois atypiques on a les emplois précaires (CDD, intérims) mais les emplois à temps partiel ne sont pas considérés comme précaires de nouveaux statuts : statuts précaires Il va s'agir de flexibilité quantitative externe. [...]
[...] En 2005 plus de 40% des travailleurs intérimaires étaient des ouvriers non qualifiés. On voit de plus en plus de cadre avoir des contrats d'intérims. Histoire de l'intérim : les premières agences d'intérims naissent en 1950 elles concernent d'abord les femmes et le secteur tertiaire puis ensuite, changement d'orientation vers l'industrie et le BTP. Création de trois grandes entreprises de travail temporaire : VEDIOR, MANPOWER, ADECCO. Au début ça concerne surtout des emplois de bureau, de secrétariat. L'évolution s'est fait avec un développement en trois phases. [...]
[...] Il y a aussi un coût indirect formé des cotisations sociales patronales, mais aussi salariales. Un salarié dont le salaire brut mensuel est de 1200 euros, salaires brut 1200 cotisations salariales 250= salaire net de 950 euros, cotisations sociales patronales 500. Le salarié ne perçoit que 950 euros mais le coût salarial est de 950+250+500= 1700 euros. Le coût direct va être de 1200/1700= et le coût indirect= 500/1700= 30% Débat : le haut niveau du coût salarial en France est il responsable du chômage ? [...]
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