"La souveraineté au MAROC,
la définition de la souveraineté "La souveraineté au MAROC, il ne faut pas s'y tromper, n'appartient pas au peuple mais au roi.
[...] Les partis de la mouvance présidentielle ont beau battre campagne et se répandre en promesses, ils ne peuvent que faire de la figuration. La souveraineté au Maroc, il ne faut pas s'y tromper, n'appartient pas au peuple mais au roi. Aussi, choisit-il en toute liberté, les dirigeants de son pays notamment le premier ministre et les membres du gouvernement. Alors, tant qu'à faire, les Marocains préfèrent rester chez eux en attendant le jour où l'on daignera vraiment prendre l'option d'une démocratie digne de ce nom. [...]
[...] Comment leur donner tort quand on sait qu'en Afrique, la technique maintenant éprouvée, c'est l'instrumentalisation des instruments électoraux, notamment pour distribuer les rôles politiques dans le cadre d'une démocratie maîtrisée ? Rien de nouveau donc sous le soleil marocain et africain. Ce que l'on relèvera, c'est qu'ailleurs, on aurait écrit des tartines et des tartines (diffusées à n'en plus finir sur les ondes) des explications de cet état sur la pléthore de partis politiques, leur absence de programme, leur manque de moyens ; au Maroc, on a bien tenté de remettre au goût du jour ces clichés mais sans succès. [...]
[...] et SUR S., Droit International Public, 2ème éd. Mont chrétien, Paris p * 6 Op.cit, p.23 Pour conclure on a décidé d'ouvrir un débat sur la souveraineté au Maroc est ce qu'elle appartient au peuple ou au roi ? Pour cela on a pris une analyse de Mme San Finna Ouagadougou pour essayer de l'analyser "La souveraineté au MAROC, il ne faut pas s'y tromper, n'appartient pas au peuple mais au roi. lundi 10 septembre 2007 (14h20) : Maroc : Les électeurs disent non à la théâtralisation démocratique 1 commentaire San Finna ANALYSE 10 Septembre 2007 Publié sur le web le 10 Septembre 2007 By VT S'il est un souverain qui doit en ce moment faire grise mine, c'est bel et bien Mohamed VI. [...]
[...] Cependant, tout Etat, en adhérant à l'organisation régionale (comme l'union africaine, l'union européenne, etc), doit en adopter la charité qui contient des devoirs et obligations auxquels l'Etat est tenu de se soumettre : ce qui est une limite considérable audit principe dont nous examinons. * 1 RANJEVA R. et CADOUX L. Droit International Public, Paris, Edicef p.229. * 2 PUCHALA D., Patterns, in west european intégration, Rapport présenté au congrès de l'Américain political science association, Los Angeles, sep p.6. * 3 Grands dictionnaires Encyclopédiques, Tg, Librairie Larousse, Paris p * 4 Op.cit, p Idem. P.9952. [...]
[...] CHAP I : LA SOUVERAINETE DANS SA SPECIFICITE Section 1ère : Aperçu général Concrètement, la souveraineté est la faculté pour un Etat d'agir librement, sans aucune contrainte et d'une manière égale sur la scène internationale face à un autre Etat. La souveraineté, comme la définit le Larousse, est la qualité d'un pouvoir suprême reconnue à l'Etat, qui implique l'exclusivité de sa compétence sur le territoire national (souveraineté interne) et non indépendance absolue dans l'ordre internationale ou il n'est limité que par ces propres engagements (souveraineté externe)3(*). §1. Origine et portée de la souveraineté. A. Origine. La souveraineté, comme principe cardinal des Etats, a le même âge que l'Etat lui-même4(*). B. [...]
Source aux normes APA
Pour votre bibliographieLecture en ligne
avec notre liseuse dédiée !Contenu vérifié
par notre comité de lecture