D'un point de vue juridique, la loi de 1966 (art. 284) définit les obligations comme étant des titres négociables qui, dans une même émission, confèrent les mêmes droits de créance pour une même valeur nominale. Ce caractère négociable représente un avantage considérable pour le prêteur : s'il a prêté une somme de 1 00 000 francs sur 10 ans, il peut céder les obligations matérialisant cette somme avant l'échéance sans avoir à se soumettre aux formalités de la cession de créances.
D'un point de vue financier, l'obligation représente une créance sur l'émetteur qui donne droit à son détenteur au paiement d'un intérêt et au remboursement du capital.
[...] L'obligation est alors cotée sans ce coupon couru. On a séparément le cours coté, qui reflète l'influence des conditions de marché, et le coupon couru. Pour acquérir les obligations émises les années précédentes, on doit verser la valeur de l'obligation au moment de l'achat (en fonction du cours) + coupons courus jours -86 jours = 279 jours de courus + 5 jours jours ouvrés + 2 jours week-end) = 284 jours. 284/365 * = Le rating est une société qui évalue la qualité et la capacité de l'émetteur à remplir ses obligations de paiement des intérêts de remboursement du capital. [...]
[...] Les obligations à fenêtres sont émises pour de longues durées, de 15 à 18 ans. Elles offrent la possibilité au porteur et à l'émetteur de sortir du contrat par un remboursement anticipé à des dates fixées, les fenêtres, au bout de et 14 ans par exemple. Celui qui souhaite sortir se voit infliger une pénalité. L'obligation à bons de souscription d'obligations Il s'agit d'une obligation classique assortie d'une ou plusieurs options permettant d'acquérir une ou plusieurs obligations pendant une période déterminée à un prix fixé à la conclusion du contrat. [...]
[...] Les obligations L'obligation D'un point de vue juridique, la loi de 1966 (art. 284) définit les obligations comme étant des titres négociables qui, dans une même émission, confèrent les mêmes droits de créance pour une même valeur nominale. Ce caractère négociable représente un avantage considérable pour le prêteur : s'il a prêté une somme de francs sur 10 ans, il peut céder les obligations matérialisant cette somme avant l'échéance sans avoir à se soumettre aux formalités de la cession de créances. [...]
[...] Le coût d'émission est donc inférieur à celui de deux emprunts consécutifs. Le taux d'intérêt du premier emprunt est moins élevé du fait de la présence du bon. La seconde émission n'est cependant pas certaine notamment lorsqu'il s'agit d'obligation à taux fixe et lorsque les taux ont fortement baissé et qu'ils se situent en dessous de ceux du marché. - Intérêt pour le souscripteur : possibilité d'acquérir une seconde obligation à des conditions connues dès le départ. L'intérêt d'une OBSO dépend des anticipations des investisseurs. [...]
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