Assurance privée, neutralité actuarielle, mutualisation, assurance publique, finance
Le principe de mutualisation, les gens pour qui le risque ne s'est pas réalisé vont payer pour les gens qui sont touchés par le risque.
Loi des grands nombres : Quand on a une probabilité (exemple 10 %), l'assureur a besoin de savoir de combien il va devoir débourser à la fin de l'année. S'il n'assure qu'une personne, 1 chance sur 10 d'avoir un accident et d'ici la fin de l'année on ne sait pas si elle va être touchée.
Il faut qu'il assure un grand nombre de personnes, plus on augmente le nombre des personnes et plus l'estimation est fine.
[...] Pour qu'une assurance privée puisse bien fonctionner, il faut que plus le risque est probabilisable et mieux c'est pour l'assurance. Il vaut mieux aussi que les risques pour les individus soient indépendant (Exemple : assurance automobile) ainsi que des risques non corrélés et bien évidement des risques les plus exogènes possible (pas affecté par le comportement des individus) avec donc un aléa moral le plus faible possible. En tant qu'assureur, il vaudrait mieux aussi que le degré d'information soit au moins aussi bon que celui des individus eux-mêmes pour éviter le risque d'antisélection. [...]
[...] Par Exemple au niveau de l'aléa moral : Outils, contrôleurs plus aisément publiques. Face au problème de l'anti sélection, l'assureur public a une arme assez forte, il peut obliger les individus à s'assurer. L'assureur public a une surface financière plus importante que celle de l'assureur privé, il peut donc se permettre d'assurer des risques relativement incertains. Pour les risques corrélés c'est plus facile pour les services publics que pour le service privé même si les grands assureurs privés peuvent amortir avec une mutualisation inter-temporelle. [...]
[...] Assurance privée et Assurance publique Les assurances privées Comment fonctionnent-elles ? Dans quelles conditions cela est-il possibles ? Il y'a 2 principes : Le principe de mutualisation, les gens pour qui le risque ne s'est pas réalisé vont payer pour les gens qui sont touchés par le risque. Loi des grands nombres : Quand on a une probabilité (Exemple 10 pour l'assureur il a besoin de savoir de combien il va devoir débourser à la fin de l'année. S'il n'assure qu'une personne chance sur 10 d'avoir un accident et d'ici la fin de l'année on ne sait pas si elle va être touchée Il faut qu'il assure un grand nombre de personnes, Exemple : 1000 Personnes, il sait qu'en gros il y'aura 90-110 personnes qui vont avoir un accident, plus on augmente le nombre des personnes et plus l'estimation est plus fine. [...]
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