Autorité, paternelle
La puissance paternelle a longtemps été considérée comme la forme la plus probante de pouvoir au sein de la famille, le père avait tous les droits sur sa progéniture pouvant aller même jusqu'à la mort de celle-ci. Après la révolution française de 1789 la question de puissance paternelle va commencer à susciter des réflexions autour de sa légitimité. A partir de ce point, la puissance paternelle s'évanouie peut a peut, même si certaine pratique était encore conservé car ancré dans les mœurs des populations et notamment celle replié dans les campagnes. Il n'est pas pour autant que la pratique d'une violence physique ou morale sur l'enfant disparait totalement. A la fin du 19ème siècle l'opinion commence à s'intéresser à l'enfant et le considère de plus en plus comme un être sans l'état entame donc un programme pour protéger les enfants, par diverses lois comme celle de1889 sur la déchéance de la puissance paternelle et de la protection de l'enfance. La revue France judiciaire, bimensuelle de législation de jurisprudence et d'éloquence judiciaire s'intéresse dans un article de doctrine parue en 1892 à cette déchéance de la puissance paternelle.
[...] La puissance paternelle ne disparait pas elle est amoindris et reformuler sous de nouveau droit et devoirs. Comme la loi de 1889 l'indique elle ne donne plus les pleins pouvoirs aux parents, elle bannie la violence et les violations des droits de celui-ci, la puissance paternelle n'est plus une puissance despotique au contraire plutôt que d'en jouer pour en tirer des avantages sur le dos de l' enfant elle devient un intérêt pour lui tant elle permet de le protéger et de le garder dans le droit chemin sans que celui-ci ne s'en détourne Institute dans l'intérêt de celui qui en jouit, que c'est au contraire un pouvoir de protection cela pouvant s'effectuer par le biais de l'éducation c'est-à-dire autorité qui a sa base et sa mesure naturelles dans le devoir des parents d'élever Le droit du père sur l'enfant est inversé pour que l'enfant soit primordiale, le père doit donc effectuer son devoir d'éducation pour que son enfant dispose de ses droits. [...]
[...] Histoire du droit privé Séance 4 l'évolution du droit privé. Commentaire de texte L'autorité paternelle La puissance paternelle a longtemps été considérée comme la forme la plus probante de pouvoir au sein de la famille, le père avait tous les droits sur sa progéniture pouvant aller même jusqu'à la mort de celle-ci. Après la révolution française de 1789 la question de puissance paternelle va commencer à susciter des réflexions autour de sa légitimité. A partir de ce point, la puissance paternelle s'évanouie peut a peut, même si certaine pratique était encore conservé car ancré dans les mœurs des populations et notamment celle replié dans les campagnes. [...]
[...] A la fin du 19ème siècle l'opinion commence à s'intéresser à l'enfant et le considère de plus en plus comme un être sans l'état entame donc un programme pour protéger les enfants, par diverses lois comme celle de1889 sur la déchéance de la puissance paternelle et de la protection de l'enfance. La revue France judiciaire, bimensuelle de législation de jurisprudence et d'éloquence judiciaire s'intéresse dans un article de doctrine parue en 1892 à cette déchéance de la puissance paternelle. La question que l'on peut se poser ici est de voir l'évolution de la puissance paternelle en faveur de l'intérêt de l'enfant ? [...]
[...] L'enfant acquière des droit jugé sacré, c'est dans l'enfance que la personne se développe et s'épanoui, il faut donc lui permettre de disposer de toute ces capacités quels soit morales et intellectuelles Et son droit sacré inaliénable c'est de développer ces facultés intellectuelles et morales On donne donc pour mission à l'enfance et par le biais des parents de développer l'individu dans sa vie future ce droit est aussi sont devoir, sa mission L'enfant va donc pouvoir profiter de son jeune âge pour acquérir une certaine liberté et cela dès sa naissance. La loi va mettre en avant les intérêts seuls de l'enfant et leur donner une primauté sur l'intérêt des parents c'est l'intérêt seul du mineur qui l'exige L'enfant pourra donc être défendu en cas de violences ou d'abus auxquels il aurait pu être soumis auparavant. Mais l'état prendra des mesures pour en limiter son effet. [...]
[...] Nous verrons que l'enfant commence à prendre une place plus importante et que la puissance paternelle commence à être remise en cause. I Une nouvelle protection de l'enfant plus accentuer. L'enfant ce voit considéré comme un être fragile qui doit être protégé jusqu'a son passage à l'âge adulte, il faut qu'il puisse se développer et s'exprimer pour forger sa bonne intégrité morale. La puissance paternelle n'est cependant pas supprimer mais amoindris, elle conserve un rôle plus éducatif. [...]
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