Benjamin Constant est le premier philosophe à avoir défini le terme de « libéralisme ». Le libéralisme politique s'est fortement développé au cours du XIXe siècle influençant les idées politiques dans de nombreux pays tels que la Grande-Bretagne, la France et les États-Unis. Le libéralisme politique est la genèse de sous-courants et également de diverses théories politiques. Selon Benjamin Constant, le libéralisme politique dont l'idée essentielle réside dans la primauté de l'individu, d'où l'individualisme, a pour finalité la sauvegarde des libertés individuelles par les gouvernements. Il semble donc nécessaire, comme l'avait déjà suggéré l'Abbé Sieyès, d'établir la notion de souveraineté nationale, idée selon laquelle la souveraineté réside dans la nation grâce au suffrage universel. La nation serait la somme des volontés individuelles dont découle la volonté générale. Elle permettrait par conséquent la satisfaction de l'intérêt collectif, soit la fusion des intérêts individuels. Ainsi, par la mise en place d'un tel système, la quête suprême du bonheur recherché par chaque Homme peut être réalisée. Il faut donc un gouvernement qui n'empiète pas sur la sphère privée des libertés individuelles de l'Homme, grâce à une souveraineté inaliénable, infaillible et absolue.
[...] D'autres estiment qu'il est préconisable d'oeuvrer par la persuasion, il faut démontrer aux états américains que la pratique de l'esclavagisme doit être abolie. La guerre de Scéssession va donc aboutir grâce à Lincoln qui abolira l'esclavage. En 1863, tous les esclaves sont libérés de leur servitude, devenant des hommes libres. Quant à la Constitution, elle subit trois amendements afin de la conformer à l'abolition de l'esclavage. Elle reconnaît l'identité noire sur son sol et l'égalité de tous, interdit toute discrimination sur son territoire. C'est un élément essentiel au libéralisme politique. [...]
[...] La nation serait la somme des volontés individuelles dont découle la volonté générale. Elle permettrait par conséquent la satisfaction de l'intérêt collectif, soit la fusion des intérêts individuels. Ainsi, par la mise en place d'un tel système, la quête suprême du bonheur recherché par chaque Homme peut être réalisée. Il faut donc un gouvernement qui n'empiète pas sur la sphère privée des libertés individuelles de l'Homme, grâce à une souveraineté inaliénable, infaillible et absolue. Alexis de Tocqueville, philosophe, instaure des théories également dans un contexte de libéralisme politique. [...]
[...] Ainsi, ils ne pouvaient pas contrôler le gouvernement ni participer à l'exercice du pouvoir. En raison de cela, ils demandaient à ne pas payer d'impôts, voire, refusaient de se soumettre aux lois élaborées par le parlement. Certains iront encore plus loin en demandant l'indépendance afin d'ériger un gouvernement spécifique. Pour eux, la Couronne britannique applique des principes féodaux issus de la tyrannie. Finalement, la guerre d'indépendance aboutira au 4 juillet 1776, événement essentiel dans l'Histoire du libéralisme politique. En effet, ce jour d'indépendance voit naître le début du libéralisme politique aux Etats- Unis. [...]
[...] De plus, l'Etat doit aider les plus pauvres, ceux qui ont un faible pouvoir d'achat. En effet, ceux-ci en consommant permettront une augmentation de la croissance. Finalement, l'Etat doit encourager l'instruction, en considérant que le travail est la valeur première de la production, cela permettra également un essor économique. Outre le fait que le libéralisme économique se caractérise par une grande liberté des agents économiques, il se définit aussi par la théorie du marché économique. Ce dernier serait un acte positif qui s'auto-régulerait et qui, par conséquent, nécessiterait la non-intervention de l'Etat. [...]
[...] Cependant, la notion d'égalité est aussi inhérente à l'Homme, en revanche, elle peut conduire à la négation, à la perte de certaines libertés. II Le libéralisme économique vu par les mercantilistes Le libéralisme économique selon la doctrine du mercantilisme nécessite une totale liberté des agents économiques. En effet, cette condition serait indissoluble à un objectif de croissance économique. Ainsi, l'Etat devrait privilégier la libre concurrence et la liberté d'entreprendre. L'Etat devrait laisser les transactions économiques se réaliser par elles-mêmes : le prix juste serait celui fixé par le vendeur et l'acheteur. [...]
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