Commentaire d'un article du ministre Michel Rocard publié dans le monde traitant des scrutins électoraux dans un optique de comparaison entre scrutin majoritaire et proportionnel.
[...] le question de la stabilité gouvernementale. Le scrutin proportionnel, comme il est connu cède des sièges à un groupe mixte des représentants qui appartiennent chacun à un parti politique distinct. Quelque fois, le nombre des partis sur scène peur augmenter, et cela entraîne que l'existence d'une majorité parlementaire des députés élues juste après les élection ou plutôt la déclaration des résultats est presque impossible. Contrairement au scrutin majoritaire qui donne naissance a une majorité parlementaire impeccable juste après le dépouillement. [...]
[...] Le scrutin proportionnel pour Michelle Rocard désarme le président de la république de un de ses plus importantes armes contre la corruption législative. Dans le cas du scrutin majoritaire la dissolution signifie pour le parti majoritaire une véritable menace, car les avis des électeurs peuvent changer avec une seconde élection ce qu'il ne peut pas soutenir alors il essai -le parti majoritaire- plus que possible de ne pas gêner le président de la république avec des "spectacles" de corruption politique. [...]
[...] Sur le plan de la libre représentation. Comme on a déjà sue, le scrutin proportionnel est un scrutin de liste et plutôt de liste bloquée. Cela veut dire que l'électeur dans ce genre de scrutin est obligé à choisir une et une seule liste entre les listes sur scène. Sans de pouvoir changer aucun nom, de former une liste mixte et même quelque foi de changer l'ordre des nom dans une même liste non préférentiel ce qui semble être le cas. [...]
[...] Tout en restant dans le domaine de la démocratie et de la représentation, le scrutin majoritaire apparaît comme un véritable menace au concept de l'égalité démocratique. La liberté du choix politique, l'un des plus important buts de l'élection elle-même (et comme dans le scrutin proportionnelle des listes non préférentielle) est mise en question par cette mode de scrutin ou les votant sont mener a choisir entre deux pôles politiques, deux idéologies mais jamais entre deux personnes distinct. Le peuple ne choisisse pas ses représentant qui doivent dans l'avenir transmettre leurs idées au corps législatif de l'état, mais il choisi entre deux recettes d'inclinations législative et politique déjà constituée et dont il n'ont pas le maîtrise, même pour changer les plus simples éléments. [...]
[...] A Partir de cette analyse, ont peut diviser notre commentaire en deux parties qui vont bien séparer ou distinguer les craintes professionnelles des politiciens, de celles des citoyens qui s'intéressent plutôt a l'authenticité et a la légitimité de leurs représentants. Et pour qu'on reste rattachée au contenue de l'article même en présence de ses paradoxes flagrants la division du commentaire sera la suivant. Au niveau sur la démocratie I . Au niveau sur la performance politique II. I. Au niveau de la démocratie Rocard conteste la proportionnalité et l'accuse d'avoir des retombées néfastes sur la démocratie et la légalité de la représentation populaire. [...]
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