Question, liberté, Droit, libre arbitre, libre, liberté politique, liberté morale, désobéissance civile
Lorsqu'on parle de la liberté, on pense souvent à la liberté politique. On pense que dans certains pays, les citoyens pensent aller et venir = liberté de circulation. Les citoyens peuvent exprimer leurs opinions religieuses, politiques : liberté d'expression dans certains pays. Liberté de choisir ses dirigeants. La liberté politique correspond à un certain nombre de droits. La liberté politique va croiser les notions : droit, Etat, politique, société.
[...] La question de la liberté Lorsqu'on parle de la liberté, on pense souvent à la liberté politique. On pense que dans certains pays, les citoyens pensent aller et venir = liberté de circulation. Les citoyens peuvent exprimer leurs opinions religieuses, politiques : liberté d'expression dans certains pays. Liberté de choisir ses dirigeants. La liberté politique correspond à un certain nombre de droits. La liberté politique va croiser les notions : droit, Etat, politique, société. On peut aussi à propos de la liberté se poser une série d'autres questions que l'on peut dire comme préalables aux questions qui relèvent de la philosophie politique. [...]
[...] La question de Thoreau qui est une question qui se pose dans un contexte démocratique est : « Comment faire entendre ma voix ? Et s'il y a dissonance entre ma voix et ce qui est montré par ma société, comment faire ? » Thoreau pense que la désobéissance civile peut être une solution, ça peut être une façon de pour le citoyen pour dire qu'il ne cautionne pas la cause esclavagiste. La désobéissance civile va avoir une noble tradition. [...]
[...] C'est bien en effet en état de guerre que l'on se trouve exposé à mourir de façon violente du fait d'autrui. Voulant fuir ce qu'ils craignent le plus, les hommes se précipitent dans ce qu'ils craignent le plus. Donc la situation est absurde. Comment s'en sortir ? Quelle est la solution ? La solution pour Hobbes est de l'ordre de l'institution juridique, la loi, le droit passage à l'état civil passage à l'Etat. L'idée pour éviter les rapports de force, c'est de se soumettre à une même autorité tierce, un souverain institué, l'Etat. C'est le moment du contrat social. [...]
[...] Nous affirmons le déterminisme. Troisièmement : Spinoza procède à une généralisation : ce qu'on a dit de la pierre, il faut l'entendre de toute chose singulière. Ce n'est pas seulement la pierre évidemment qui est déterminée, toute chose singulière peut être interprétée comme un effet qui dérive nécessairement d'une cause extérieure et antérieure. Il y a donc là affirmation du principe du déterminisme de façon générale. A ce moment du texte, on pourrait comprendre que l'homme est concerné par cette affirmation générale mais nous ne le soupçonnons pas encore. [...]
[...] Les fonctionnaires nazis comme Eichmann ne s'interrogent pas sur le contenu de la loi, ils obéissent. Comment une obéissance de cadavre peut elle être un devoir, une vertu ? Hanna Arendt sera très sévère par rapport à un tel argument : obéir n'est pas un argument pour disculper, ça peut être un crime, ça peut être précisément ce qu'on reproche à quelqu'un, la fonction publique et la politique n'ont rien à voir avec l'école maternelle. En politique, obéir c'est soutenir. [...]
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