Valéry Giscard d'Estaing nous dit, "La prison c'est la privation de la liberté d'aller et de venir et rien d'autre".
Et cela est tout a fait vrai, mais cela veut il dire que cette privation de liberté est libre de tout respect envers les détenus ?
A proprement parler il semble, évident, que non.
Et est-ce que cette privation de liberté d'aller et de venir, est véritablement la seule qui est appliquée. Ou bien y a t-il d'autre droits ou liberté bafouées dans les prisons ?
Le respect de la dignité humaine est un des principes fondamentaux de notre société, il est par ailleurs écrit dans la Convention européenne des droits l'homme sous l'article 3 que, « Nul ne peut être soumis à la torture ni à des peines ou traitements inhumains ou dégradants. »
Mais qu'en est-il en réalité, est ce que ce respect de la dignité humaine inhérent à toute personne est réellement appliqué. J'aimerai pouvoir vous affirmer que oui.
J'aimerai pouvoir vous dire, en France, dans le pays des droits de l'homme chaque personne qui passe dans une de nos prisons est certaine d'être traité avec le minimum d'égard qui lui est due.
Mais je ne serais pas honnête avec vous, et avec tous ceux qui ont été obligés d'avoir recourent, un jour, à la justice pour simplement faire valoir leurs droits fondamentaux.
Liberté, égalité, fraternité.
Des mots rien que des mots ? Il semble que oui au regard du comportement de l'administration pénitentiaire en France.
Pour en revenir à notre problème, nous allons nous demander si, Le respect du droit et de la dignité humaine est satisfaisant aujourd'hui dans les prisons françaises ?
Nous allons commencer par définir certains termes du problème pour clarifier notre réflexion.
L'on parle, de « respect du droit », encore faut il savoir se que désigne clairement le droit.
Le droit est l'ensemble des règles et normes générales et impersonnelles qui attribuent prérogatives et droits aux personnes, et qui sont susceptibles d'une exécution contrainte institutionnalisée, notamment par l'intervention de la puissance publique, c'est-à-dire de l'État.
Le droit c'est également ce qui doit être, c'est a dire la règle écrite. On constate souvent des divergences entre ce qui doit être « le droit », et ce qui est « les faits ».
Lorsque l'on parle de respect du droit dans les prisons françaises, on parle de la conformité avec la loi que doit avoir l'administration pénitentiaire quant au traitement de ses détenues.
En ce qui concerne le « respect de la dignité humaine » La notion équivoque de dignité humaine a des dimensions multiples, philosophiques, religieuses, et juridiques. Elle fait référence à une qualité qui serait liée à l'essence même de chaque homme, ce qui expliquerait qu'elle soit la même pour tous et qu'elle n'admette pas de degré.
Prise en ce sens, cela signifie que tout homme mérite un respect inconditionnel, quel que soit l'âge, le sexe, la santé physique ou mentale, la religion, la condition sociale ou l'origine ethnique de l'individu en question.
[...] Elles mesurent en général aux alentours de 9m2 de plus, jusqu'à trois détenus y sont enfermer sans la moindre intimité, et dans des conditions d'hygiène douteuse voir déplorable. En effet, car les sanitaires ne sont pas séparés des zones ou les détenus prennent leurs repas. On ne peut pas vraiment dire que ce soit une façon appropriée de respecter la dignité humaine et les droits dans les prisons de France. Il y ont s'en rend bien compte une trop grande différence entre la réalité des faits et le droit, c'est-à-dire ce qui devrait être. [...]
[...] Enfin pour finir de parler des droits, il semble indispensable de parler l'article 13 de la Convention Européenne des droits de l'Homme. Car dans cet article il est dit Toute personne dont les droits et libertés reconnus dans la présente Convention ont été violés a droit à l'octroi d'un recours effectif devant une instance nationale, alors même que la violation aurait été commise par des personnes agissant dans l'exercice de leurs fonctions officielles. Voilà qui permet aux détenus d'agir concrètement pour la préservation de leurs droits essentiels, à savoir en priorité le respect de leur dignité humaine. [...]
[...] Commençons par parler du problème de surpopulation, c'est un des problèmes majeurs de la prison en France. Ce problème touche essentiellement les courtes peines et les prisonniers en attente de leur jugement. En 2003, un rapport Européen fait état de traitements inhumains et dégradants en référence à l'article 3. En parlant de conséquences de la surpopulation dans les prisons françaises. Pour donner quelques exemple et faire part de l'ampleur du problème, en juillet 2007 il y avait places opérationnelles, pour écroués ! [...]
[...] Pour en revenir à notre problème, nous allons nous demander si, Le respect du droit et de la dignité humaine est satisfaisant aujourd'hui dans les prisons françaises ? Nous allons commencer par définir certains termes du problème pour clarifier notre réflexion. L'on parle, de respect du droit encore faut-il savoir ce que désigne clairement le droit. Le droit est l'ensemble des règles et normes générales et impersonnelles qui attribuent prérogatives et droits aux personnes, et qui sont susceptibles d'une exécution contrainte institutionnalisée, notamment par l'intervention de la puissance publique, c'est-à-dire de l'État. [...]
[...] En ce qui concerne le respect de la dignité humaine La notion équivoque de dignité humaine a des dimensions multiples, philosophiques, religieuses, et juridiques. Elle fait référence à une qualité qui serait liée à l'essence même de chaque homme, ce qui expliquerait qu'elle soit la même pour tous et qu'elle n'admette pas de degré. Pris en ce sens, cela signifie que tout homme mérite un respect inconditionnel, quel que soit l'âge, le sexe, la santé physique ou mentale, la religion, la condition sociale ou l'origine ethnique de l'individu en question. [...]
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