Profession policière, trois corps de police, formation policière, réforme des corps, institutionnalisation
Qui sont les policiers ? Qu'ont-ils en commun ? Qu'est-ce qui les différencie ?
Les policiers sont également, outre les contraintes extérieures, orientés par leurs intérêts professionnels propres. Cependant ces intérêts peuvent varier selon leur corps d'appartenance.
En effet, il existe 3 corps de police dits actifs, c'est-à-dire que ça exclut le corps du personnel administratif, et ces 3 corps regroupent des policiers qui partagent des propriétés socio scolaires.
Les policiers sont des professionnels au sens où ils ont bénéficié d'une formation particulière.
[...] Ainsi les agents semblent pouvoir envisager plus facilement une évolution de leur statut et épouser de nouvelles perspectives de carrières. - Elle introduit la notion de culture de résultat et de gestion par objectif (le travail des policiers est soumis aux objectifs établis par la hiérarchie). - Elle met en place des primes individuelles pour les policiers considéraient comme les plus méritant, ce qui font les meilleures performances (interpellations, GAV Ces primes génèrent des concurrences au niveau des services. III) La culture professionnelle Il ne faut pas penser que la culture professionnelle implique que la profession soit totalement homogène, puisque cette culture est également traversée par de l'hétérogénéité. [...]
[...] Dans le 1er : suppression du commissaire principal. Le 2ème se nomme maintenant corps de commandement Le 3ème se nomme maintenant corps d'encadrement de d'application Un grade est rajouté : brigadier-chef en 2ème. Il y a aujourd'hui 3 corps de police, plus un corps de jeune contractuel : les adjoints de sécurité, plus les corps de personnel administratif, technique et scientifique. A. Le corps d'encadrement et d'application (corps des gardiens de la paix et des gradés) : Dans les années 50 un gardien de la paix était formé en 2 mois et n'avait pas de formation continue. [...]
[...] Le port de l'uniforme a aussi son importance, car il constitue un indicateur de spécialisation, et la spécialisation est valorisée dans la police. Les services en tenus sont moins valorisé que les services en civil, c'est pourquoi les gardiens de la paix en uniforme dans les brigades généralistes du type police secours, aspirent soit à se déshabiller (passer en civil) pour intégrer des unités en civiles soit à endosser la panoplie des brigades spécialisés dans les interpellations musclées (GIGN). Le site géographique constitue aussi un élément de gloire, un commissariat du XVIème est moins valorisé que celui de Mantes la jolie. [...]
[...] II) Formation et carrière A. L'institutionnalisation tardive de la formation policière : Pour des raisons à la fois historiques et tenant à la nature de l'activité policière, la culture de la formation ne s'est imposée que tardivement dans la police. Contrairement à d'autres administrations, notamment les ponts et chaussés dont l'activité consiste à calculer, la police nationale n'a pris conscience que tardivement de la nécessité d'une bonne formation initiale. Cette prise de conscience a d'abord concernée le sommet de la hiérarchie, c'est-à-dire les commissaires, puisque l'école nationale supérieure de police (ENSP) a été créée en 1942. [...]
[...] La profession policière Qui sont les policiers ? Qu'ont-ils en commun ? Qu'est-ce qui les différencie ? Les policiers sont également, outre les contraintes extérieures, orientés par leurs intérêts professionnels propres. Cependant ces intérêts peuvent varier selon leur corps d'appartenance. En effet, il existe 3 corps de police dits actifs, c'est-à-dire que ça exclut le corps du personnel administratif, et ces 3 corps regroupent des policiers qui partagent des propriétés socio scolaires. Les policiers sont des professionnels au sens où ils ont bénéficié d'une formation particulière. [...]
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