Entreprises françaises, Petites et Moyennes Entreprises, MPE, Grandes Entreprises, France, Commission européenne
Le critère de taille est celui qui est le plus utilisé pour classifier les entreprises. Il permet de distinguer les Petites et Moyennes Entreprises (PME) des Grandes Entreprises (GE). L'INSEE retient une définition uniquement liée au nombre de salariés, inférieur à 500 pour les PME. Parmi les PME, on distingue aussi souvent les très petites entreprises (moins de 10 salariés) des autres PME (de 10 à 499 salariés). La Commission européenne propose, elle, une définition plus précise de la PME, à savoir une entreprise : employant moins de 250 salariés ; dont le chiffre d'affaires n'excède pas 50 millions d'euros ou dont le total du bilan annuel n'excède pas 43 millions d'euros ; et qui est indépendante, c'est-à-dire, qui n'est pas détenue à plus de 25 % du capital ou des droits de vote par une entreprise ne correspondant pas aux deux critères précédents.
[...] Les petites entreprises de moins de 10 salariés représentent cependant sensiblement plus du tiers de l'emploi total en tenant compte des actifs non salariés. Les créations d'entreprises Les créations d'entreprises sont de plus en plus nombreuses en France, notamment du fait des mesures de simplification administrative adoptées ces dernières années. La France est de ce fait, l'un des pays les plus dynamiques en la matière. Par exemple, les créations pures ont augmenté de en 2006 atteignant un nouveau record de créations ; ce nombre était constant autour de par an de 1993 à 2002. [...]
[...] Ceci est surtout lié à la difficulté qu'ont les entreprises françaises à grandir. Partant d'une base 100, en terme de nombre d'emplois lors de la création, les États-Unis arrivent à 226 au bout de sept ans, l'Allemagne à 122, la France a 107 seulement. Cette s'observe donc vis-à- vis de l'Allemagne pour les entreprises de plus de 50 salariés et vis-à-vis des États-Unis pour toutes les PME. Cela tient notamment à l'effet de l'existence d'un seul réglementaire à partir de 50 salariés en France et à l'effet du Small Business Actu qui apporte garantie bancaire ou accès privilégié aux marchés publics aux États-Unis. [...]
[...] Il permet de distinguer les Petites et Moyennes Entreprises (PME) des Grandes Entreprises (GE). L'INSEE retient une définition uniquement liée au nombre de salariés, inférieur à 500 pour les PME. Parmi les PME, on distingue aussi souvent les très petites entreprises (moins de 10 salariés) des autres PME (de 10 à 499 salariés). La Commission européenne propose, elle, une définition plus précise de la PME, à savoir une entreprise : employant moins de 250 salariés ; dont le chiffre d'affaires n'excède pas 50 millions d'euros ou dont le total du bilan annuel n'excède pas 43 millions d'euros ; et qui est indépendante, c'est-à- dire, qui n'est pas détenue à plus de du capital ou des droits de vote par une entreprise ne correspondant pas aux 2 critères précédents. [...]
[...] Parmi l'ensemble des entreprises créées en sont entièrement nouvelles sont des reprises et des réactivations. Le nombre de reprises devrait s'accroitre à l'avenir, de nombreux dirigeants de PME partant en retraite au cours des prochaines années. Une spécificité française : le nombre insuffisant d'entreprises de taille moyenne Un point commun à tous les pays est le poids très majoritaire de la très petite entreprise l'Italie disposant cependant d'un nombre de TPE très sensiblement supérieur aux autres pays. La France comprend également relativement plus de TPE, en lien avec les nombreuses créations d'entreprises que l'on y observe. [...]
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