L'e-PME n'est plus simplement un objet de curiosité ou une exception, c'est devenu un phénomène de société. C'est une nouvelle culture commerciale. L'idée d'utiliser Internet pour le commerce est entrée dans les mœurs. La France a cependant du retard dans ce domaine, en partie dû au Minitel, qui avait habitué les français à commercer sur un réseau sécurisé (Transpac). Les consommateurs ne se posaient pas la question de la viabilité de l'entreprise, qu'elle soit distributrice de produits ou de services, puisque seules les entreprises enregistrées pouvaient proposer leur offre sur le Minitel. Internet, associé à l'informatique dans l'esprit de beaucoup, représente soit un gadget, dont les consommateurs n'ont pas trouvé encore l'utilité, soit une mode qui passera. L'informatique est encore pour beaucoup un monstre sacré, que beaucoup appréhendent de devoir utiliser. Bien qu'elle se soit vulgarisée avec l'apparition des PC, il n'en reste pas moins qu'elle intimide encore. Des initiatives gouvernementales, régionales, ont été prises pour tenter de changer cette image. Depuis décembre 2002, le site www.PortailPME.fr était en ligne. Comme son nom l'indique, l'objectif de ce site dédié aux petites et moyennes entreprises, était d'apporter aux entrepreneurs un outil proposant un annuaire des sites et des services pratiques à vocation professionnelle. Il a été remplacé par le site www.oseo.fr . Ce site est destiné aux PME et aux « web entreprises ». L'e-PME est avant tout une PME. La différence réside dans le mode de vente. La vitrine des e-PME, c'est le web. Le client n'a plus besoin de se déplacer.
Une majorité de PME françaises sont connectées. Et plus seulement pour utiliser la messagerie. De plus en plus de PME françaises utilisent Internet comme outil. Selon le Journal du Net : « 93 % des PME françaises sont connectées à Internet. Et si l'e-mail est le principal usage, les PME se servent de plus en plus de leur site pour acheter, vendre, gérer et communiquer avec clients et fournisseurs. (27/01/2005) ». Il reste une ombre au tableau, le débit, l'ADSL n'est pas disponible dans toutes les régions. Si la région parisienne est favorisée, les zones rurales le sont beaucoup moins, et l'ADSL par satellite n'est pas financièrement accessible à tous. Internet en bas débit est très pénalisant pour une PME qui aurait à envoyer ou recevoir de gros fichiers (même au format JPEG, les images peuvent avoir une grande taille). Si c'est juste une formalité avec l'ADSL, cela devient un travail laborieux en bas débit, sans parler de télécharger des mises à jours de logiciels ou un logiciel lui-même, qui peut exaspérer même les plus patients.
[...] La vitrine d'une PME étant le web, le dirigeant a seulement besoin d'ordinateurs et d'une ligne téléphonique pour faire fonctionner son entreprise. Contrairement aux PME ordinaires qui doivent trouver un local, signer un bail commercial, engager des dépenses pour aménager le local pour pouvoir recevoir les clients, le créateur d'e-PME peut faire de sa résidence le siège social de sa société, et selon le type d'entreprise, a seulement des employés qui font du télétravail ou qui exercent sur le terrain (commerciaux, techniciens ) et n'ont pas besoin de bureau. [...]
[...] Comme son nom l'indique, l'objectif de ce site dédié aux petites et moyennes entreprises, était d'apporter aux entrepreneurs un outil proposant un annuaire des sites et des services pratiques à vocation professionnelle. Il a été remplacé par le site www.oseo.fr . Ce site est destiné aux PME et aux web entreprises L'e-PME est avant tout une PME. La différence réside dans le mode de vente. La vitrine des e-PME, c'est le web. Le client n'a plus besoin de se déplacer. Une majorité de PME françaises sont connectées. Et plus seulement pour utiliser la messagerie. De plus en plus de PME françaises utilisent Internet comme outil. [...]
[...] Des e-PME employant des Johnny Mnemonic vont-elles voir le jour ? Créant le métier de coursier numérisé (Johnny Mnemonic est un film relatant l'histoire d'un coursier qui livre des données confidentielles cryptées dont il ne détient pas les clés de cryptage, et qui utilise la partie de son cerveau refondue en disque dur pour stocker les données) ? Conclusion L'apparition des supermarchés a soulevé un tollé général, de la part des commerçants et des consommateurs. Les premiers avaient peur de disparaître face à la concurrence au niveau des prix, de l'achalandage (ce qui a été le cas pour certains). [...]
[...] sont rémunérées par la publicité. Leurs clients ne sont pas des particuliers, ce sont d'autres entreprises. Le site www.seloger.com par exemple propose de passer gratuitement les annonces. Les destinataires de ces annonces ne sont pas des particuliers mais des agences immobilières qui peuvent ainsi agrandir leur parc immobilier. Ci-dessous le traducteur de Yahoo, qui fonctionne très bien pour les phrases simples. Les banques et les assurances bien évidemment ont très vite créé leur site web pour accueillir et gagner de nouveaux clients. [...]
[...] C'est une nouvelle culture commerciale. L'idée d'utiliser Internet pour le commerce est entrée dans les mœurs. La France a cependant du retard dans ce domaine, en partie dû au Minitel, qui avait habitué les Français à commercer sur un réseau sécurisé (Transpac). Les consommateurs ne se posaient pas la question de la viabilité de l'entreprise, qu'elle soit distributrice de produits ou de services, puisque seules les entreprises enregistrées pouvaient proposer leur offre sur le Minitel. Internet, associé à l'informatique dans l'esprit de beaucoup, représente soit un gadget, dont les consommateurs n'ont pas trouvé encore l'utilité, soit une mode qui passera. [...]
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