Affacturage, comme solution de crédits par mobilisation de créances
[...] 1[ère] limite du texte n° 6 : l'auteur André Cyril effleure en parallèle de la simplification de laquelle découle la réduction des coûts de l'affacturage, les solutions développées que sont le financement à l'export et le reverse factoring. Ces axes de développements sont davantage approfondis dans le texte n° 4 de Thomas Romain. 2[nde] limite du texte n° 6 : à lire l'auteur André Cyril, l'e-affacturage permet de remédier aux limites rencontrées par l'affacturage traditionnel. Cependant, la réalité est moins tranchée, comme l'illustre le texte n° 9 et l'analyse de l'auteur Anne Del Pozo. [...]
[...] AFFACTURAGE, COMME SOLUTION DE CRéDITS PAR MOBILISATION DE CRéANCES L'AFFACTURAGE EST-ELLE UNE BONNE SOLUTION DE FINANCEMENT POUR UNE PME ? Table des matières Revue de la littérature - Les limites et inconvénients de l'affacturage 2 Titre I. Les inconvénients de l'affacturage 2 Section 1. L'aléa juridique et economique lié à un contrat innommé 2 Section 2. Les inconvénients liés aux prérequis de l'affacturage 4 Titre II. Les limites de l'affacturage 7 Section 1. Le coût élevé de l'affacturage 7 Section 2. Le tri des factures 11 Section 3. [...]
[...] Dans le principe, dans le cas de l'affacturage confidentiel, l'entreprise cède toujours ses créances commerciales à un factor, mais elle garde en interne la relance et l'encaissement des factures, contrairement à la formule de l'affacturage classique. Toutefois, cette forme d'affacturage n'est pas offerte à toutes les entreprises. En effet, la plupart du temps, « ce type de contrat est réservé aux sociétés disposant d'une organisation interne efficace dans la gestion de ses comptes clients » précise Thierry Duval. Elles doivent donc avoir une infrastructure suffisante leur permettant de disposer d'équipes dédiées au recouvrement des créances, ce peut s'avérer un véritable défi pour les PMEs. [...]
[...] Critique du texte 1 : Cette analyse apparaît cependant insuffisante en pratique pour une PME, de nombreuses questions restant non tranchées. En particulier, le dirigeant d'une PME peut être amené à s'interroger sur la qualification d'avis sur les factures apparent, ou encore sur les cas où il peut être essentiel pour une PME de se ménager une libération par le factor simplement optionnel. Bibliographie Texte 1. Patrick O'Meara, Jean-Jacques Neuer, La marche vers le crédit général d'exploitation, La Semaine Juridique Entreprise et Affaires n° Juin 1986, act Texte 2. Lefebvre Arnaud, Clement Guillaume, Nau Valérie, Gruyelle Astrid, Financium. [...]
[...] Gian Paolo Cossu et Olivier Descateaux et Sylvie Perrin, PME - Le financement des PME - Cahiers de droit de l'entreprise n° Mars 2009, entretien 2 Présentation du texte 5 : D'après Gian Paolo Cossu et Olivier Descateaux et Sylvie Perrin (texte n° en pratique, l'adhérent adresse au factor les créances qu'il détient au fur et à mesure de leur naissance. Puis, selon une périodicité convenue, l'adhérent fait parvenir au factor un bordereau récapitulatif des créances nées durant la période écoulée. Le factor dispose alors de la faculté d'accepter ou de rejeter les créances qui lui sont proposées. Le factor courant le risque d'impayé, celui-ci est amené à procéder à un tri drastique des créances, à l'aune de leur risque de non-recouvrement. [...]
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