L’uberisation de la société : à travers l’exemple des taxis Uber

Résumé du document

Ce document est une aide à la rédaction de mémoire.

L'uberisation, nouveau modèle socio-économique, début d'une nouvelle ère, la société actuelle est-elle prête à accueillir un nouveau modèle et bouleverser celui dit « traditionnel » et quel futur pour ce modèle qui bouleverse celui existant ?

Dans ce document, vous trouverez un plan complet et détaillé, certaines parties sont rédigées tandis que d'autres sont à remplir par vos soins, selon les éléments que vous souhaitez ajouter au développement. Vous trouverez également, à la fin de de ce document, une bibliographie de toutes les sources utilisées dans dans le cadre du sujet abordé.

Extraits

[...] Limites : effacement de la limite entre vie professionnelle et vie personnelle, revenus plus précaires que pour les salariés, notamment en cas de maladie ou de changement de politique tarifaire de la plateforme, difficulté d'accès aux prêts et au logement en l'absence de revenus stables, risque économique, moindre opportunité d'accès à la formation. La non application de la législation du travail nécessite de réinventer d'autres formes de protection sociale. III/ Un modèle robuste mais menacé Il semble que le modèle collaboratif mise en lumière par l'uberisation est plus robuste que les consommations collaboratives initiaux traduisent par Lebon coin, EBay . etc. [...]

[...] Le principe qu'est l'utilisation de plateformes numérique consiste à créer un nouvel intermédiaire qui permet de mettre en relation directe les utilisateurs et les prestataires, contrairement au secteur traditionnel. Cela caractérise une économie de plate-forme avec plusieurs fonctions particulières à l'uberisation, à savoir le support de la monétisation et du crowdsourcing. La monétisation se fait essentiellement en prélevant une commission sur les transactions, et le crowdsourcing qui signifie la sous-traitance par la foule fait reposer sur les utilisateurs volontaires et flexibles la réalisation d'un certain nombre de tâches. Parmi les services cités comme initiant l'uberisation de l'économie, on cite Airbnb, Booking.com ou Amazon. [...]

[...] Paiement du client à la plateforme qui prélève une commission. Paiement du prestataire par la plateforme. Evaluation croisée du service : le client évalue le service reçu et le prestataire évalue le client. Reste à voir maintenant de manière explicite quels sont les autres secteurs touchés par ce phénomène. Les secteurs d'activités ubérisés Uber voie le jour à San Francisco en 2009 et son extension va être très rapide. Il est en 2014 présent dans plus de 200 villes et 45 pays, selon Jean-Claude Bourbon. [...]

[...] Même si la place de l'Homme dans ce système révèle plusieurs limites éthiques. Hyper-concurrentialisassions de l'économie Grace aux levées de fonds spectaculaires, (lacroix.fr) Impact sur le bien-être social (Résultat de l'enquête) Avantages : meilleur accès au travail, revenus supplémentaires (pouvant être significatifs), augmentation du risque en multipliant les donneurs d'ordre, souplesse dans l'organisation du temps de travail, travail autonome et varié, acquisition de nouvelles compétences, possibilités accrues de reconversion, diversification de l'activité habituelle, contribution à une réflexion accrue sur la pertinence éventuelle d'instaurer un revenu minimal universel. [...]

[...] C'est ainsi que la création de la société Uber en 2009 par Travis Kalanick, un jeune entrepreneur américain à la Silicon Valley, vient changer la donne dans le commerce collaboratif. En effet, cette société reprend les codes de l'économie collaboratif traduit, par exemple, par un covoiturage à moindre coût et pousse l'idée vers plus de sécurité et de qualité dans les échanges. L'idée de départ est donc de permettre les particuliers entre eux de s'offrir des services de transport, en concurrence direct avec les taxis. [...]