Les différentes options stratégiques des entreprises : stratégie de domination par les coûts ; stratégie de différenciation du produit, d'innovation ; stratégie d'impartition ; stratégie d'intégration verticale. Egalement, les stratégies des PME (suiveur, escargot...), l'intérêt et les limites de ces stratégies, et les grandes tendances stratégiques depuis le début du XXe siècle. Cours d'économie très bien synthétisé en trois pages, et illustré ensuite par des articles pertinents sur le sujet.
[...] La stratégie d'impartition est mise en œuvre lorsque une entreprise décide de faire faire une partie de ses activités par une autre entreprise. Les modalités de l'impartition sont diverses et varient selon que l'entreprise souhaite une coopération pour éviter l'affrontement avec un concurrent, ou souhaite nouer des partenariats en vue d'accroître son activité sans supporter les coûts d'investissement, ou encore souhaite externaliser une partie de la production. ( Les modalités de l'impartition : - La sous-traitance : une entreprise (le donneur d'ordres) confie à une autre (le sous-traitant) un travail sur mesure selon un cahier des charges (externalisation dans les téléphones mobiles, l'automobile, le bâtiment - La coproduction (co-traitance) : plusieurs partenaires s'engagent à traiter une affaire ou à réaliser des travaux complexes en commun (une structure juridique est créée, groupement d'intérêt économique (GIE) ou consortium). [...]
[...] Ces deux types de stratégie peuvent être combinés. b. Avantages et risques. Les principaux avantages de cette stratégie sont : - profits supérieurs à la moyenne du secteur ; - adaptée aux PME qui disposent de ressources limitées ; - pas de seuil de taille (pas de taille minimum). Les principaux risques de cette stratégie sont : - ceux déjà évoqués pour les stratégies de domination par les coûts et de différenciation ; - la sur-segmentation (sous-segment trop étroit). B. [...]
[...] Paradoxalement, Genesys a vu le jour sur l'un des marchés les moins réceptifs à ce type de service le marché français ne pèse en effet que quelque 15,24 millions d'euros, quand son homologue américain dépasse les 800 millions de dollars. Créée en 1987, la société a donc connu des débuts laborieux. Finalement, une crise de croissance a fait exploser le groupe des trois fondateurs en 1995. François Legros, partisan d'une stratégie orientée vers l'internationalisation rapide des activités, est resté seul aux commandes. Depuis, la PME a multiplié ses implantations européennes en Italie, en Belgique, en Allemagne et s'est lancée dans une stratégie d'acquisitions pour étendre la couverture géographique de ses services. [...]
[...] BTS 2 ÉCO. d'E. THÈME 1. L'ENTREPRISE ET SA DÉMARCHE STRATÉGIQUE. Chapitre VI. LES OPTIONS STRATÉGIQUES. Objectifs du chapitre : ( Caractériser les différentes options stratégiques : stratégie de croissance interne et externe, stratégie de domination par les coûts, stratégie de différenciation du produit, stratégie d'impartition, stratégie d'intégration A. Les stratégies d'activité La stratégie de domination par les coûts. a. Définition et principes. [...]
[...] Sont-elles hiérarchisées ? 2. De manière générale, quelles sont les stratégies les mieux adaptées aux entreprises de taille moyenne ? Document 3 : Les chaussures Doc Martens. En 1997, les ventes se sont effondrées en Europe, mais comme elles progressaient aux États-Unis, la direction n'a pas réagi, raconte Didier Mauroux, ancien importeur des Doc en France. Deux ans plus tard, lorsque le chiffre d'affaires a commencé à baisser aux États-Unis, le mal était fait. Réputés pour leurs compétences industrielles, mais beaucoup moins doués pour la pub et le marketing, les Griggs n'ont pas su entretenir le mythe. [...]
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