SCVNGR is a social location gaming application for smartphone based on challenges. The concept of the application is simple: "Go places. Do challenges. Earn points!". Players use the application in certain places to see if they can do some challenges in order to gain some points, unlock badges and win some rewards. SCVNGR is also a social platform because it offers to users the possibility to create their own challenges and have fun challenging other users. (http://www.scvngr.com/)
In 2008, at age 19, Seth Priebatsch decided to drop out of Princeton and create SCVNGR. He had won an entrepreneur contest in his university and investors were starting to call him about his idea. Highland Capital Partners decided to invest $730,000 in the project and that is how the SCVNGR Company was created.
Today the company has grown and now counts more than 60 employees. The company's headquarter is based In Boston but also has an office in San Francisco. Up to this day, SCVNGR has been able to raise $40,8 million from many big venture funding companies like Dreamit Ventures, Highland Capital Partners, Google Ventures Balderton Capital, Transmedia Capital and T-Venture.
[...] Un paysage sonore. • Progression des sons en général : le silence s'installe avec l'arrivée de la nuit : « c'est la nuit, le silence. ». • Puis, le poète apporte des précisions sur ce silence : il correspond à la de fin de la journée pour les hommes et au repli chez soi ; ceci est traduit par un enjambement dans le 2ème quatrain : « le nid (enjambement) se tait » ; le nid est ici une métonymie qui évoque toute la collectivité humaine. [...]
[...] La place de l'homme dans cette nature. • On a l'évocation d'un repli chez soi, dans sa maison (‘‘chaume'') à la tombée de la nuit. La fumée suggère l'intimité familiale, et le ‘‘nid'' est une métonymie évoquant les hommes en général. • « l'Angélus du soir » rappelle l'importance de la religion sur cette civilisation rurale, et semble, en s'associant à « la vaste rumeur de l'océan », célébrer avec lui le créateur de cette nature fabuleuse, c'est-à-dire Dieu (aux vers 7 et 8). [...]
[...] Il y a encore un peu de vie : évocation de l'activité humaine dans le second tercet. On note la comparaison au vers 9 : « comme du fond d'un abîme » gouffre, précipice) ( ce qui signifie que ces bruits de voix viennent de loin. • Au final, c'est la nature qui domine puisqu'elle est immortelle : d'où l'utilisation des locutions ‘'au loin'', ‘'sans fin'', ‘'horizon'' qui possèdent des connotations relatives à l'éternité. Contrairement à l'homme, la nature ne s'arrête jamais de vivre : même si le soleil disparaît, la mer reste toujours active comme l'en témoigne les termes suivants : ‘'la vaste rumeur de l'océan''. [...]
[...] • Dans le 2ème quatrain, le poète annonce l'arrivée de ‘‘la nuit'' (vers renforcée par le terme ‘‘brume'' (vers 8). On a un obscurcissement général, une perte de lumière. • Dans le dernier tercet le poète emploie le mot ‘‘ombre'', ainsi que l'adjectif ‘‘sombre'' qui s'oppose au terme ‘‘riche''. La disparition de la lumière a une connotation funèbre : « soleil mourant » ( mort de l'élément vital : le soleil est source de vie. II- Le rôle du poète et la place de l'homme. [...]
[...] La diversité du paysage. Elément terrestre : ‘‘granit'', ‘‘somment'', ‘‘landes'', ‘‘ravins''. Elément maritime : ‘‘barre d'écume'', ‘‘mer'', ‘‘océan''. ( fusion de ces deux éléments au vers 4 : « La mer sans fin commence où la terre finit. » ; il s'agit d'une antithèse, renforcée par le choix des verbes ‘‘commence'' et ‘‘finit'' qui s'opposent radicalement. Cette figure de style permet au poète d'insister sur le caractère infini, éternel de la mer. Elément aérien : ‘‘ciel'' ; de plus, le coucher de soleil est un spectacle ayant lieu dans le ciel. [...]
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