The American car market accounts for 16, 2% of the world's total car market but has experienced a decline in the total number of sales during year 2009 (Datamonitor, 2009). This means that many Americans have become dependent on public transport or other ways of moving across cities. However, public transportation are not always a facility available in many American cities and buses stops running after a certain point in the night or in a specific area making it hard for a cities citizens going to work among other thing.
Also, the decline in the American economy has made it impossible for many to afford a car causing the car industry to decline in sales.
For the past couple year's new green solutions have been developed and public transportation extended making it easier, for people without a car, to get around cities. Also, the fact of been environmental awareness and protect the environment from future damage has been a growing trend among consumers.
[...] La diversité du paysage. Elément terrestre : ‘‘granit'', ‘‘somment'', ‘‘landes'', ‘‘ravins''. Elément maritime : ‘‘barre d'écume'', ‘‘mer'', ‘‘océan''. ( fusion de ces deux éléments au vers 4 : « La mer sans fin commence où la terre finit. » ; il s'agit d'une antithèse, renforcée par le choix des verbes ‘‘commence'' et ‘‘finit'' qui s'opposent radicalement. Cette figure de style permet au poète d'insister sur le caractère infini, éternel de la mer. Elément aérien : ‘‘ciel'' ; de plus, le coucher de soleil est un spectacle ayant lieu dans le ciel. [...]
[...] Un paysage sonore. • Progression des sons en général : le silence s'installe avec l'arrivée de la nuit : « c'est la nuit, le silence. ». • Puis, le poète apporte des précisions sur ce silence : il correspond à la de fin de la journée pour les hommes et au repli chez soi ; ceci est traduit par un enjambement dans le 2ème quatrain : « le nid (enjambement) se tait » ; le nid est ici une métonymie qui évoque toute la collectivité humaine. [...]
[...] - vers 12 : « L'horizon tout entier s'enveloppe dans l'ombre. » : notion d'infinité et d'immensité ( rien n'est épargné par l'obscurité grandissante. - vers 13 : ‘‘soleil mourant'' : personnification + oxymore traduisant un important changement : le passage à la nuit (terme déjà employé au vers 5). - vers 13 et 14 : « le soleil [ ] Ferme les branches de son riche éventail » : personnification du soleil (avec l'emploi du verbe fermer) + métaphore ( les rayons du soleil sont apparentés aux branches d'un éventail : la beauté et l'harmonie de cette phrase traduisent toute la splendeur de ce moment grandiose ( parnasse. [...]
[...] La place de l'homme dans cette nature. • On a l'évocation d'un repli chez soi, dans sa maison (‘‘chaume'') à la tombée de la nuit. La fumée suggère l'intimité familiale, et le ‘‘nid'' est une métonymie évoquant les hommes en général. • « l'Angélus du soir » rappelle l'importance de la religion sur cette civilisation rurale, et semble, en s'associant à « la vaste rumeur de l'océan », célébrer avec lui le créateur de cette nature fabuleuse, c'est-à-dire Dieu (aux vers 7 et 8). [...]
[...] • Dans le 2ème quatrain, le poète annonce l'arrivée de ‘‘la nuit'' (vers renforcée par le terme ‘‘brume'' (vers 8). On a un obscurcissement général, une perte de lumière. • Dans le dernier tercet le poète emploie le mot ‘‘ombre'', ainsi que l'adjectif ‘‘sombre'' qui s'oppose au terme ‘‘riche''. La disparition de la lumière a une connotation funèbre : « soleil mourant » ( mort de l'élément vital : le soleil est source de vie. II- Le rôle du poète et la place de l'homme. [...]
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