étude de cas, stratégie d'entreprise, Apple, Danone, alliance entre entreprises, fusion, absorption
Une invention suppose un degré d'inventivité, un degré d'activité inventive, le point important dans l'innovation est l'état de la technique, et le garant de l'état de la technique est l'homme de métier, éduqué dans ce domaine ; donc invention est plus innovant qu'innovation.
Il faut que l'invention, apporte une invention nouvelle, quelque chose d'utile, quelque chose d'habituel. Il faut que les caractéristiques du produit amènent une performance.
Une innovation de procédés est par exemple, le fait de prendre une nouvelle machine pour des économies de couts, de qualité. Donc l'innovation, n'est pas que pour faire des inventions nouvelles, c'est aussi pour des proccess.
Pour un brevet, il faut une protection absolue de 20 ans. Mais n'est ce pas assez important pour amortir le produit ? Une innovation de proccess est plus dure à protéger, on peut faire différemment que le concurrent, ou moins cher que le concurrent. L'efficacité des proccess est importante.
La production de l'innovation ne concerne pas la RD, mais elle concerne toutes les fonctions de l'entreprise. Il faut analyser la faisabilité technique des process. La marque joue plus longtemps que le brevet, car elle est renouvelable à l'infini. La RH permet de faire des recrutements, les former pour leur permettre de recruter des compétences.
[...] Le départ des seignors à la retraite chez Schneider, sera un grand Pb pour l'entreprise car les retraités partent avec de la connaissance tacite. On a aussi l'apprentissage par l'action. Mais comme cette connaissance est difficile à transmettre ; on enseigne par l'action, le flair nécessaire pour cette transmission. C'est la connaissance tacite qui va faire la différence. Mais cela soulève un autre problème, c'est celui du management de l'intelligence émotionnelle, les sentiments. La connaissance apparait au niveau de l'individu, et on a un problème de transfert de la connaissance de l'individu à l'organisation. [...]
[...] Le taux d'échec de l'alliance est de 60 à les maitres en matière de fusions acquisition sont les américains, et les français est de le système qui marche bien est le système japonais. (Les Keiretsu, les Guanxi c'est la règle du trust (Gentlemen agreement). Les Types d'alliances : Les Alliances de taille : Avoir une taille critique, car en face, on n'a la face d'un concurrent qui a une menace critique, les partenaires ici opèrent sur le même segment stratégique, DAS (domaine d'activité stratégique), ils ont la même structure, les mêmes coopérants, ils ont une structure directe, il y a une menace, et il faut contrer cette menace. [...]
[...] La fonction la plus importante est la catégorisation, la partie la plus importante ensuite est l'analyse, les fonctions entre les variables sont compliquées, beaucoup d'acteurs réagissent les uns avec les autres. La capacité d'analyse se heurte aux techniques, on nous à appris qu'il y a la boite à outils, mais les outils qu'on n'a pas, il faudra les inventer, il faut aussi avoir le bon sens, entourer vous des gens qui ont du bon sens, les décisions prises plus tard ne serve à rien. On a aussi un autre département qui est le Complexe car il faut trouver la règle. [...]
[...] Les absorbés reçoivent de l'argent et ils n'y sont plus. On compare l'acquisition à une situation de vainqueur et de vaincu. Dans les valeurs, il y a les hommes, le capital intellectuel, il s'agit des hommes, c'est le plus important. La faiblesse de l'acquisition est les actifs volatils bancaires y sont. L'avantage est que l'acquisition va vite contrairement à la fusion qui prend du temps. Dans les périodes critiques de l'entreprise, l'entreprise a besoin d'un expert de niveau car la plupart des experts, sont de niveau 4. [...]
[...] Car elle augmente la captation des signaux, ce qui déclenche l'intuition. Les signaux sont comme des stimuli engendrant le phénomène d'interprétation en utilisant des analogies, les phénomènes du passé, l'analogie nous permet de faire un raisonnement à plusieurs étages : expliquer à soi-même, formaliser, et rendre le rapport à son chef, mais notre vision des choses peut être biaisé, mais crée en nous un enrichissement qui nous permet de développer notre connaissance. S'il n'y a pas une intégration de cette connaissance, dans l'ensemble de l'organisation, il peut y avoir un souci. [...]
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