For this assignment I decided to do a complete introspective analysis of myself during my internship at ELTEG. I tried to apply some of the tools and theories we learned in Change Management class to myself. It doesn't focus on a particular Change. I found out that the things we learned in class could easily be applied to study the behaviors of people in a working environment. They can be used to learn more about a person or an organization in order to find the right way to manage them and be more productive. This assignment helped me better understand the way I act and work in an organization. I talk about my experience in the company and why I went from being very motivated to completely uncommitted, passive and not very reliable. I divided the analysis of my internship into six main parts related to some of the elements we learned in class. I finish my assignment by giving advices on how to better manage me in a working environment and how to make me more productive.
The first thing I did when I arrived on my first day at the office, was to go see Christophe Magnus, the CEO of ELTEG, in his office so he could explain me what I had to do. He told me on what I was going to work on, with who and where. After having explained me all that, I asked him at what time we had to come in the morning. He answered that the other employees used to arrive between 9am and 10am. His answer was a bit evasive, as if it wasn't really important. I knew it was a small Internet-based company and that there was a really relaxed working environment, and therefore the rules weren't very strict. Now that I think about it, and after having attended the Change Management seminar, I realize that Christophe should have established strict ground rules at the very beginning. When he told me that I knew I was going to come at 10 every day and sometimes even later. The fact that the working hours are not very strict and precise made me understand I could do what I like so I arrived late and left early. As we have seen in class, one way of setting ground rules is that everything that is not explicitly forbidden is allowed. In that case, arriving late and leaving early wasn't explicitly forbidden and therefore I took advantage of that. We are all different but I know myself, and I know that you have to put stress on me and establish precise ground rules in order to make me respect the basic rules.
[...] En l'espèce, il s'avère qu'aucun état de la coalition n'a été victime d'une quelconque attaque de la part de l'Irak, et rien ne démontre explicitement qu'il existe un lien entre les attentats du 11 septembre et l'Irak. En tout état de cause cette guerre met un terme à cette vision de wilsonisme botté Les valeurs américaines, sont pour les néoconservateurs moralement supérieures et donc ils cherchent à façonner le monde selon leurs valeurs, exporter leurs valeurs démocratiques comme souhaitait le faire le président Wilson. Tout cela en dépit du droit international. En effet, l'hégémonie américaine entraîne de facto une place réduite du droit international, voir négative. [...]
[...] Par la suite, la résolution 1564 de 2004 confie au Conseil de Sécurité un rôle moteur, en ce qui concerne certains aspects politique, administratifs, sociaux et humanitaires. Malgré ces résolutions donnant un poids juridique essentiel au Conseil de Sécurité, on constate une violation ouverte des résolutions du Conseil de sécurité par les puissances occupantes, et en particulier par les Etats-Unis. La première violation des recommandations du Conseil de Sécurité étant l'interdiction du recours à la force armée. Si le Conseil de Sécurité a reconnu la présence américaine par la résolution 1483, elle ne l'a pas légitimé a posteriori par cette résolution. [...]
[...] En effet, bien que la teneur des injonctions successives et des mises en garde répétées de l'ONU, laisse entendre un aboutissement en cas d'obstination de l'Irak à l'usage de la force, le Conseil de sécurité précise en fin de résolution et à l'instar des deux précédentes qu'il décide de demeurer saisi de la question Sur ce dernier paragraphe aucune ambigüité n'est alors possible, comme pour les résolutions précédentes il se positionne, en tant que seule instance compétente pour la décision de mesures à venir à l'encontre de l'Etat irakien en vertu de l'article 24, paragraphe 2 de la Charte des Nations unies. Ainsi, la coalition n'est pas fondée à décider d'une intervention armée en Irak. De plus, Olivier Corten souligne à juste titre qu'il paraitrait invraisemblable que le Conseil de sécurité soit compétent pour discuter d'une question, mais pas pour prendre une décision qui pourrait marquer la fin de la question étudiée. [...]
[...] Le manque de clarté de la position du Conseil de Sécurité et sa position ambigüe conduisent l'ensemble des Etats a souhaité une réforme de celui-ci, et ce, depuis la création du Conseil de Sécurité en 1946. Les tentatives de réformes du Conseil de sécurité. Pour pallier au défaut de base légale du conflit irakien, les Etats- Unis cherchent une réforme du système, afin d'en faire un système plus à leurs avantages, une organisation plus petite, mieux organisée et plus productive Parallèlement, d'autres Etats proposent des réformes visant à rendre les décisions de l'institution plus efficace. Toutes ces réformes s'avèrent impossibles à mettre en œuvre, faute de consensus entre les Etats. [...]
[...] Les limites de l'ONU outre la guerre en Irak ont été illustrées dans l'exemple récent de la Libye Les Etats-Unis ont là encore eu l'initiative de l'usage de la force pour protéger les populations libyennes. L'intervention a été admise par la résolution 1973, malgré l'abstention de cinq puissances. L'abstention n'équivalant pas à un veto, l'intervention était légale et a effectivement abouti à une intervention militaire. Suite à l'intervention, la Chine et la Russie dénoncent des violations des résolutions. Ces puissances considèrent que les Etats-Unis ont outrepassé les prérogatives de l'ONU. [...]
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