En d'autres termes, l'entreprise a pour objectif de se procurer un avantage décisif sur le ou les marchés où elle est, ainsi que sur ceux où elle souhaite se positionner. Pour au final, créer plus de valeurs pour ses parties prenantes : les propriétaires, les financiers et les employés.
Pour aller plus loin, il faut encore définir deux termes : finalité et objectifs. La finalité d'une entreprise est sa vocation, sa raison d'être, le but général qu'elle se fixe. Il s'agit d'un état désiré qui ne sera peut-être jamais atteint complètement. Cette ou ces finalité(s) s'appuie(nt) sur son métier, ses compétences et ses valeurs. La finalité première de toute entreprise est de survivre, vivre et se développer.
Les objectifs découlent des finalités. Ils en sont les déclinaisons concrètes. Ils désignent les cibles à atteindre pour aller vers la finalité. Ils sont le plus souvent quantifiables et sont soit à court, moyen ou long termes. En entreprise, on classe les objectifs selon trois grands niveaux : stratégiques, tactiques et opérationnels.
Une décision se caractérise par des choix qui portent sur la détermination d'un axe donné en cas de problème pour une entreprise, soit sur la mise en place de ses objectifs, soit sur la mise en oeuvre « des ressources de l'entreprise » par exemple, la recherche et la mise en place de nouveaux procédés et nouvelles ressources, la détermination des ressources de la firme.
Les décisions ne sont quasiment jamais le fruit du hasard, mais le résultat d'une réflexion, planification et prévision à court, moyen et long terme.
Les différentes décisions d'une entreprise sont fondées sur les interactions rationnelles du responsable avec les différents acteurs de celle-ci. Ce processus permet à la firme de développer sa performance globale.
[...] - Le degré d'acceptation et de compréhension de la firme par ses différentes parties prenantes autant internes à l'entreprise qu'externes. Autrement dit, il faut en plus de l'acceptation de la part des salariés de la firme que ses différents clients mais également fournisseurs soient convaincus du bon déroulement de son activité mais aussi de ses choix tant bien au niveau de sa politique économique que sociale. Les rapports entre les responsables et la stratégie La réussite d'une stratégie dépend surtout de la vision que l'entreprise et ses dirigeants en ont eu à court, moyen, ou long terme, mais elle dépend également d'autres facteurs tout aussi importants et surtout qu'une firme ne doit pas négliger. [...]
[...] Pour au final, créer plus de valeurs pour ses parties prenantes : les propriétaires, les financiers et les employés. Pour aller plus loin, il faut encore définir deux termes : finalité et objectifs. La finalité d'une entreprise est sa vocation, sa raison d'être, le but général qu'elle se fixe. Il s'agit d'un état désiré qui ne sera peut-être jamais atteint complètement. Cette ou ces finalité(s) s'appuie(nt) sur son métier, ses compétences et ses valeurs. La finalité première de toute entreprise est de survivre, vivre et se développer. Les objectifs découlent des finalités. [...]
[...] Prenons l'exemple d'AOL qui a cessé ses activités de fournisseur internet, hormis aux EtatsUnis. En France, AOL a vendu ses activités à Neuf Cegetel. Désormais, l'entreprise s'occupe de son portail en ligne et de ses contenus exclusifs et également de ses activités liées à l'industrie cinématographique. La stratégie de survie L'entreprise en difficulté choisit la stratégie de survie. Elle consiste à continuer d'exister en privilégiant parmi ses activités celle qui est la plus rentable. Elle s'accompagne souvent d'un plan de restructuration, c'est-à-dire la cession d'actifs, le dégagement, le recentrage, licenciement et plan social. [...]
[...] Les stratégies d'entreprise Sommaire Introduction . P 1 I. Les différents types de stratégies La stratégie de croissance . P 2 La stratégie de diversification . P 2 La stratégie de spécialisation . P 4 La stratégie de recentrage . P 4 La stratégie de dégagement . P 5 La stratégie de survie . [...]
[...] o De plus, un partage des richesses est notable entre les pays riches et les pays pauvres. Elle permet, pour les pays qui subissent la délocalisation : o Malgré ce partage des richesses la délocalisation profite plus aux pays riches comme le prouve l'enquête du National Bureau of Economic Research de 1997. Elle permet à l'entreprise : o D'avoir un moyen de pression sur les conditions de travail (congés, amplitude de travail o De renégocier, les accords avec les fournisseurs et sous-traitants. [...]
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