Les entrepreneurs cherchent à maximiser pour le bien de l'entreprise :
- La théorie économique classique : Les entreprises de plus grandes tailles vont changées. Les dirigeants ne seront plus les copropriétaires. Beaucoup de grandes entreprises n'ont pas le même but que les petites entreprises c'est-à-dire de faire un profit maximum.
- Elles peuvent chercher à s'agrandir dans la recherche des bénéfices. C'est la croissance de l'entreprise. Dès 1970, il y a une cohabitation dans les pays occidentaux des entreprises qui cherchent à s'agrandir de plus en plus (...)
[...] Ils s'expliquent surtout par le droit social en vigueur dans un pays : - 1 à 9 salariés : statut d'entreprise artisanale - 10 à 19 salariés : l'entreprise est obligé d'avoir un comité d'entreprise et un comité d'hygiène et de sécurité. - 50 à 499 salariés : intéressement de personnel au fruit de l'entreprise. III. La logique de flexibilité d'une entreprise : Cette politique générale de flexibilité est apparue récemment dans les pays occidentaux. Certaines entreprises abandonnent la logique de rentabilité et se perfectionnent pour la logique de flexibilité. A. Les enjeux de la flexibilité Les logiques de rentabilité et de croissance ne sont accessibles que si l'environnement économique de l'entreprise est stable. [...]
[...] - Des créanciers qui sont les personnes prêtant de l'argent aux entreprises. Les créanciers avant de débloquer une créance, un prêt, veulent la certitude que c'est une entreprise susceptible de lui rembourser un jour. - Des salariés de l'entreprise qui sont des types d'agents à part. Pas de réaction entre le degré de satisfaction des salariés et le montant des bénéfices rehaussés par l'entreprise car les bénéfices réalisés par l'entreprise ne vont pas directement aux salariés, ils restent dans l'entreprise. [...]
[...] Les dirigeants ne seront plus les copropriétaires. Beaucoup de grandes entreprises n'ont pas le même but que les petites entreprises c'est-à-dire de faire un profit maximum. - Elles peuvent chercher à s'agrandir dans la recherche des bénéfices. C'est la croissance de l'entreprise. Dès 1970, il y a une cohabitation dans les pays occidentaux des entreprises qui cherchent à s'agrandir de plus en plus. - La flexibilité : Au milieu des années 1970, beaucoup d'entreprises ont vécu un retour de boites. [...]
[...] Le lobbying est la pression des gens influents pour qu'ils n'agissent pas dans un sens contraire aux intérêts des entreprises. Les entreprises qui font de la flexibilité offensive sont souvent des GE. La flexibilité est la capacité d'une entreprise à s'adapter aux modifications de son environnement. L'amélioration de la flexibilité passe finalement par le respect de 3 règles : Le principe de liquidité c'est-à-dire qu'une entreprise sera d'autant plus flexible que ces actifs seront liquides, transformables rapidement en monnaie. Il faut mieux pour rebondir à des événements imprévus avoir de l'argent liquide de côté. [...]
[...] Raisons psychologiques : Quand une entreprise grandie, sa notoriété augmente. Certains dirigeants considèrent que plus on parlera de l'entreprise plus elle aura du prestige. Toutefois, la réalité des pays occidentaux va dans ce sens. Raisons économiques : Les responsables, les cadres supérieurs avaient un salaire indexé par contrat de travail et sous forme de prime, au chiffre d'affaire à la fin des années 1990. Cette clause d'indexation a été supprimée pour devenir copropriétaire de stock options. - WILLIAMSON, vers la fin des années 1970, s'est préoccupé de cette question : Pourquoi les cadres essaient de grandir les entreprises dans lesquelles ils travaillent ? [...]
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