Toute organisation, à but lucratif ou non, a ses points forts et ses points faibles. En des termes plus stratégiques, on peut dire que ce sont les avantages et les inconvénients de l'organisation par rapport aux menaces et opportunités du marché qui déterminent des facteurs clés de succès. Elles doivent organiser une veille interne et externe constante pour pouvoir découvrir ces facteurs avantageux. C'est là tout le principe de l'analyse stratégique.
[...] - Faciliter la communication entre le personnel qui côtoie le problème et l'observateur (éviter la peur des remontrances). - Avoir l'avis d'une personne qui a l'expérience de cette démarche et donc des résultats plus précis et plus rapides. Le benchmarking interne est une bonne solution pour une entreprise qui souhaite effectuer cette démarche mais qui n'en a pas encore l'expérience, car l'existence des données et leurs limitations à l'échelle interne facilitent le processus Le benchmarking compétitif Il s'agit là d'un benchmarking externe. [...]
[...] Cette société propose une gamme de produit très large allant de la petite imprimante de bureau aux photocopieurs multitâches, ainsi que de nombreux services dont des conseils pour la gestion des impressions. Elle base son argumentaire commercial sur l'innovation (elle est l'inventrice de la première xénographie), la qualité et l'environnement et semble accorder une grande importance au service client. [...]
[...] Mais bien entendu le piège réside dans la valeur des données. En effet, les informations échangées doivent avoir une valeur similaire. Il ne faudrait pas qu'une entreprise trouve la réponse à ses problèmes et qu'en échange elle fournisse des informations inutiles par exemple. Il est bien évidemment toujours possible de collecter des informations autrement que par ces échanges, mais dans ce cas, l'accès à l'information peut être particulièrement difficile. Contrairement au benchmarking interne où il s'agissait de collecter de l'information blanche, ici il va s'agir d'informations grises voire noires. [...]
[...] Le benchmarking ne touche pas non plus que les entreprises privées. Au fil des années, les politiques de privatisations présentes dans différents pays conduisent également les organisations publiques à utiliser des outils de stratégie et de marketing en prenant exemple sur le secteur privé. Il permet, entre autres, d'introduire de nouveaux processus dans ces organisations et donc de les améliorer et de les moderniser afin d'accroitre le confort des usagers. De plus, étant financé par l'Etat (et donc le contribuable) un organisme public se doit de viser un objectif de rentabilité minimum pour gérer au mieux les budgets qui lui sont alloués Pourquoi pratiquer le benchmarking On peut résumer l'intérêt de la pratique du benchmarking par la question suivante : Pourquoi faire des efforts pour inventer ce qui existe déjà quelque part ? [...]
[...] En effet, si l'on s'intéresse par exemple au leader d'un marché, celui-ci cherchera constamment à maintenir cette position généralement instable. Le benchmarking fonctionnel est le plus enclin à la création d'un réseau de collaboration entre différentes entreprises. Il est donc assez facile à mettre en place et peut être porteur d'une forte dynamique de développement des entreprises. Cependant, la quantité d'information disponible vient nuire à l'analyse. En effet, la quantité d'informations à traiter est telle que les données retenues seront plus souvent quantitatives que qualitatives. [...]
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