Face à une société qui évolue de plus en plus vite, et dans ce contexte de crise actuelle, dans lequel un système de rentabilisation des effectifs est mis en place, les hommes compétents et capables de mener les changements au sein de leur organisation deviennent rares et précieux à la fois. Le capital humain est donc développé au même titre que le capital financier.
Le terme organisation est très souvent utilisé pour parler de l'entreprise, et pourtant il ne faut pas oublier que l'entreprise n'est qu'une organisation, qui, par ailleurs dans la société d'aujourd'hui, pèse de moins en moins lourd en termes de croissance et d'emplois. Nous pouvons malgré tout, nous demander, si le développement des capacités d'un membre d'une organisation, pour lui permettre de faire des choses extraordinaires, doit être la raison d'être de cette organisation ?
[...] Et pourtant c'est bien ce capital humain qui va permettre à l'entreprise de reprendre le dessus, en proposant des solutions d'amélioration, des idées innovantes, etc. Seul le travailleur du savoir est capable d'accompagner ce changement induit par la crise économique, et de proposer des nouveautés qui vont permettrent d'améliorer les résultats financiers Conclusion La finalité de l'organisation doit refléter l'idéal commun qui motive les individus. Il s'agit de l'âme de l'organisation. Ce guide sert de repère et va inspirer et catalyser le changement et le progrès. [...]
[...] Une information de veille concurrentielle par exemple qui ne serait pas remontée au dirigeant l'empêchera de prendre les décisions nécessaires pour atteindre les objectifs de l'entreprise. Autre reproche que l'on peut également faire aux entreprises d'aujourd'hui serait de ne pas développer assez la formation de ses salariés, de ne pas valoriser suffisamment leurs savoirs, de ne pas les pousser, car on ne prend pas le temps de leur faire le feed-back nécessaire à leur évolution. Enfin, le contexte de crise actuelle pose deux problèmes : le premier étant la rentabilisation des effectifs qui ne laisse plus la place aux personnes banales. [...]
[...] La raison d'être d'une organisation est de permettre à des gens ordinaires de faire des choses extraordinaires Peter Drucker Introduction On constate depuis de nombreuses années que l'Homme prend une place de plus en plus importante au sein des organisations, celles-ci cherchant donc à le motiver et à favoriser son épanouissement. Mais avant de commencer à traiter ce sujet, il apparaît important d'en définir les termes clés. Ainsi, la raison d'être d'une organisation représente sa finalité (intention qui anime l'action), son but (ce qu'elle veut atteindre), sa vision. [...]
[...] 6 Sources DRUCKER, Peter (2005), L'avenir du management, traduction de Jacques Fontaine, Village mondial : Pearson Education France. DRUCKER, Peter, Du management. Travaux de François Yenny (2005) sur ce livre. Travaux de Cacot Solène et Rebuissoux Christelle, Le capital humain. Travaux de Daniel Held, Mesurer les facteurs qualitatifs de l'entreprise, Evaluer et piloter la performance humaine, paru dans Employeur Suisse. Travaux de Stéphane Barthe (2001), notes du Lirhe, L'impact des technologies du web sur la gestion des ressources humaines : émergence de l'e-RH. [...]
[...] Pour répondre à notre problématique nous pouvons dire que oui le fait de permettre à des personnes ordinaires de faire des choses extraordinaires doit rester la raison d'être de certaines organisations, notamment l'université, pilier de la formation des acteurs du futur. Cependant cette finalité n'est pas celle de toutes les organisations et notamment de l'entreprise. Mais si ce n'est pas une finalité, cela reste un élément essentiel de la stratégie d'une entreprise, moteur de réussite. Il était important de démontrer que malgré l'importance du développement du capital humain, beaucoup d'organisations ne font pas ce qu'il faut pour parvenir à changer certains individus trop banals en nouveaux leaders. [...]
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