Exposé de gestion des ressources humaines sur la théorie de la motivation en entreprise, à travers l'approche de Frederick Hertzberg. Vous y trouverez une présentation de l'auteur, ainsi que celle du modèle "bi-factoriel". Document de quatre pages au format Word.
[...] En effet, de nombreuses recherches universitaires infirmèrent le modèle «bi-factoriel». Les critiques portent notamment sur deux points : d'une part, les travaux d'Herzberg sont marqués par une confusion entre satisfaction et motivation ; d'autre part, son approche - basée sur l'analyse de souvenirs que les personnes retravaillent nécessairement est largement subjective. Un article de Nathan King, Clarification and Evaluation of the Two- Factors : Theory of Job Satisfaction (Psychological Bulletin, 1970), mettra un point final aux tentatives de validation de ses propositions. [...]
[...] Il distingue en effet deux types de besoins, ceux qui sont propres à tous les êtres vivants - les «besoins d'hygiène» et ceux qui sont particulier à l'espèce humaine - les «motivateurs» - d'où le nom de «modèle bi- factoriel» Théorie bi-factorielle Ainsi, nous pouvons parler de la théorie bi-factorielle, qui se définit de la façon suivante : un certain nombre de facteurs qui peuvent réduire l'insatisfaction de l'homme au travail. Ces facteurs d'ambiance (ou facteurs d'"hygiène", selon F. Herzberg) ne motivent pas fondamentalement l'individu mais peuvent empêcher l'insatisfaction au travail. [...]
[...] Il est l'auteur dans les années 60 d'une théorie originale sur la motivation (la théorie bi-factorielle), à la base de l'enrichissement des tâches. Il est aussi l'auteur de nombreux autres ouvrages, tels que : - Motivation at Work (1959) - Work and the Nature of Man (1966) - La théorie bi-factorielle - Maslow, Herzberg et les théories du contenu motivationnel II Présentation du concept : 1. Contexte L'approche théorique de F.Herzberg consiste à analyser la motivation à partir des besoins. [...]
[...] Ils concernent : o les accomplissements o la considération, la reconnaissance o les responsabilités, l'autonomie o la possibilité de se réaliser dans un travail intéressant o l'avancement, l'évolution professionnelle Au sein de l'entreprise, la théorie de Herzberg implique donc que : Les politiques de motivation ne peuvent se contenter d'améliorer les conditions de travail. La stimulation externe (du type " carotte/bâton a un intérêt limité. Une bonne politique de motivation consiste surtout à favoriser l'implication par un enrichissement des tâches. [...]
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