relations humaines, dynamique de groupe, organisations, influences sociales
Jusqu'aux années 30, la psycho-socio a peu d'importance (quasi nul).
Les grands sociologues : Max Weber et Frederik Taylor
La motivation des salariés ne pouvait être que d'ordre économique. L'état d'esprit de l'époque consistait à croire que seul l'argent comptait.
Société actuelle = société de loisirs.
On considérait que la rationalité était le panache des chefs.
Elton Mayo : révolutionne les mentalités de l'époque, il possédait un laboratoire d'ergonomie (= étude des conditions de travail physique). Il teste les effets + et – sur les conditions de travail des femmes qui travaillent à la chaine.
Il commence à parler de « motivation humaine » et de « variable psycho-sociale » en découvrant le climat positif au travail (affectif, phénomène de leadership et d'influence réciproque). La motivation humaine est fondamentale.
Il y a des facteurs de cohésion dans le groupe (un consensus).
[...] La motivation humaine est fondamentale. Il y a des facteurs de cohésion dans le groupe (un consensus). La motivation humaine dans les équipes de travail (Cette nouvelle vision du travailleur va totalement modifier l'optique du courant de rationalité. Cette découverte non attendu de Mayo amène une vision différente de l'entreprise concepts fondamentaux : L'existence d'une motivation sociale : les patrons doivent satisfaire non seulement la motivation économique mais aussi les besoins des individus en matière interpersonnelle. L'entreprise va dispenser de la considération et organiser des cordiales relations entre salariés. [...]
[...] Pour ça il amène sa victime a trahir ses convictions, valeurs et ses principes, autrement dit il l'amène à le tuer et le flic ne pourra plus se regarder dans une glace car il aura trahit ses conviction. Au nom de l'ordre et de la justice il le tue et devient un véritable assassin, au fond il ne vaudra pas mieux que les malfaiteurs qu'il poursuit. Le but général de tous les pervers et de porter atteinte à l'image de soi par la disqualification. [...]
[...] Elle étudie l'individu dans ses relations au groupe. Relations humaines et dynamique de groupe Naissance des Relations Humaines et productivité Approche traditionnelle de l'entreprise Jusqu'aux années 30 la psycho-sociaux a peu d'importance (quasi nul). Les grands sociologues : Max Weber et Frederik Taylor La motivation des salariés ne pouvaient être que d'ordre économique. L'état d'esprit de l'époque consistait à croire que seul l'argent comptait. Société actuelle = société de loisirs. On considérait que la rationalité était le panache des chefs. [...]
[...] Les auteurs Vidal et Sirota ont abouti à l'inconscient groupal. Profil du pervers (comportements clés) Son comportement en groupe, lors de réunion, d'un travail collectif, il a besoin d'un public pour se satisfaire, de façon automatique et inconsciente il va s'attaquer aux liens des participants. Il a besoin de casser le groupe dans la mesure où il ne peut pas s'attacher. Le pervers est lâche car il ne va pas attaquer en publique, et ne s'attaque pas à son égal ou son supérieur. [...]
[...] 3. Pathologie du groupe Rapport à la loi du pervers. Explication de ce type de personnalité : (blocage au moment de l'Œdipe) cadre fourni par la psychanalyse (orientée à l'interprétation de l'inconscient, cadre théorique de référence). Pervers mixe entre psychanalyse (lien de l'individu avec la société) et psycho sociale. (On parle d'inconscient groupal) Présupposés de Freud : Affirme que le bébé à une sexualité dès son arrivée au monde. Il passerait par différents stades de libido. Evolution de sa libido. [...]
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