Parties prenantes, contres pouvoirs, conflits de pouvoir, salariés représentent le capital humain, délégué syndical, gouvernance managériale
Le fonctionnement de toute entreprise est l'objet de conflits de pouvoir car elle repose sur des individus ou des groupes qui ont leurs propres objectifs rarement concordants. D'autre part l'entreprise va aussi avoir des entreprises différentes par rapport aux acteurs économiques de son environnement. Le manageur doit donc en permanence arbitrer entre les attentes des différentes parties prenantes qui sont des contre pouvoirs. Le terme parti prenantes fait référence à la volonté de chacun des acteurs de bénéficier d'une fraction de la valeur ajoutée produite par l'entreprise
[...] Chapitre Les parties prenantes et les contres pouvoirs Analyse de l'entreprise en fonction des relations humaines et du capital humain Introduction Le fonctionnement de toute entreprise est l'objet de conflits de pouvoir car elle repose sur des individus ou des groupes qui ont leurs propres objectifs rarement concordants. D'autre part l'entreprise va aussi avoir des entreprises différentes par rapport aux acteurs économiques de son environnement. Le manageur doit donc en permanence arbitrer entre les attentes des différentes parties prenantes qui sont des contre pouvoirs. [...]
[...] Les salariés représentent le capital humain essentiel pour l'entreprise. Ils sont à la fois parte prenante et contre pouvoir que les objectifs de l'entreprise ne peuvent être atteints sans leur participation active alors que es objectifs personnels divergent parfois des objectifs communs. Ce contre pouvoir peut s'exprimer légalement par leurs représentants. La différence entre les délégués du personnel, le comité d'entreprise et les syndicats est que le délégué syndical est nommé de l'extérieur et les autres sont élues en interne. [...]
[...] C'est d'autant plus vrai que l'entreprise est en difficultés. Dans l'entreprise, la répartition du pouvoir n'est pas fixée à l'avance mais évolutive et tout salarié peut acquérir une partie du pouvoir. Le pouvoir est le produit de relation, de négociations, de communications et de confrontations dont l'issu reste incertaine. II- Les parties prenantes externes Consommateurs, clients Le client est à la base de la valeur ajoutée, le satisfaire doit donc être à le premier objectif de l'entreprise même si individuellement, il a souvent que eur de pouvoir de négociation. [...]
[...] Les traditionnels ont aussi comme préoccupation la pérennité de l'entreprise : c'st le cas du capitalisme familial. Les modernes ne veulent qu'une rentabilité à court terme (fonds de pension américain) Les dirigeants Ils vont être soumis à deux modes de gouvernance: - la gouvernance actionnariale les actionnaires exercent un pouvoir élevé au travers du conseil d'administration si ils sont étrangers à l'entreprise (actionnariat boursier) ils vont exiger une rentabilité forte à court terme (les fonds de pension américain) - la gouvernance managériale qui laisse plus de pouvoir aux dirigeants et qui va leur permettre souvent de prendre des mesures pour la pérénité de l'entreprise au détriment de la rentabilité immédiate. [...]
[...] Pour eux l'entreprise doit créer de la valeur ajoutée pour être capable de payer les intérêts et doit aussi être pérenne pour être capable de rembourser la capital prêté. L'Etat et les administrations Ils prélèvent de façon autoritaire une part importante de a valeur ajoutée. C'est un contre pouvoir pour l'entreprise important qu'il est beaucoup pluq facile de contourner pour les multinationnales. La société civile Elle a de plus en plus d'exigences vis à vis de l'entreprise, elle lui demande d'être socialement responsable; emploi, pratiques environnementale, soutien pour la vie locale. [...]
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