Exposé traitant de deux sujets intimement liés, la sociologie et les ressources humaines. Le sujet principal de celui-ci concerne les audits sociaux, outils de diagnostic pour le service des ressources humaines d'une société. Un cours présenté au format Word et comprenant environ 2500 mots.
[...] C'est l'utilisation de référentiels pertinents. Chaque élément est considéré dans son contexte (politique, géographique, historique, etc . La formulation d'une opinion est essentielle (ou d'une idéologie) et cette opinion dépend du choix des indicateurs et de la manière dont on monte le référentiel, et des théories auxquelles on se réfère. Il faut également qu'il formule des recommandations pour améliorer la situation. Ce qui est important, c'est l'organisation de la mission. Le consultant est responsable de la mise en œuvre des moyens pour réaliser au mieux la mission. [...]
[...] Le système d'action concret : le concept recouvre à la fois les systèmes des relations formelles et informelles quotidiennes de travail. Le système des alliances. Etude du cas concret La zone d'incertitude se situe au niveau de la panne : ils exercent ce pouvoir par rapport à la rapidité avec laquelle ils réparent les machines. La zone d'incertitude c'est la panne. Il apparaît que les vrais chefs d'atelier sont les ouvriers de maintenance. Crozier se sert de l'affectif pour déterminer les relations de pouvoir dans l'organisation. [...]
[...] Il faut identifier et formaliser des systèmes de relations formelles et informelles quotidiennes de travail. On doit ensuite être capable de formaliser des systèmes d'alliances. Aucune organisation ne peut vivre sans des ajustements permanents, jamais totalement calqués sur l'organisation réelle. Le système des alliances est un système stratégique et non pas d'affinités psychologiques entre les gens. La difficulté pour le consultant est comment poser les bonnes questions et interpréter les réponses. Crozier estime qu'un indicateur important est de voir comment affectivement, les gens s'apprécient les uns les autres. [...]
[...] Par contre, il faut pallier aux dysfonctionnements de ce modèle et définir des styles de commandement plus souples et qui fassent participer les salariés. On intègre donc des éléments nouveaux : travail, reconnaissance, considération de l'employé. Le courant des psychosociologues qui vont essayer de définir tous ces termes restés très vagues MASLOW Maslow va essayer de comprendre la motivation de l'individu et il propose de hiérarchiser les besoins des individus sous forme d'une pyramide : La reconnaissance de soi les besoins d'estime les besoins du groupe les besoins en matière de sécurité les besoins organiques La première pyramide a une apparence très vraie. [...]
[...] Dans cette perspective le pouvoir est une relation, on parle de relations de pouvoir. Il y a idée de réciprocité même si ce n'est pas d'équilibre. La simple position hiérarchique ne suffit pas à exercer un pouvoir sur l'autre. Il est important d'identifier les ressources du pouvoir comme la contrainte, la légitimité, la communication et l'utilisation des règles organisationnelles Le concept d'incertitude : l'incidence sur la relation de pouvoir ne peut se comprendre qu'au travers du phénomène d'autonomie. L'autonomie dans une entreprise peut s'inscrire dans un cadre formel ou informel. [...]
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