L'aptitude à communiquer, le développement des relations humaines de qualité, l'aptitude à résoudre des problèmes et la capacité de s'adapter rapidement aux changements technologiques sont des compétences qu'il faut développer chez les membres d'une organisation qui tend à réaliser le dynamisme voulu, à travers le développement de l'aspect relationnel qui n'est que le rôle de la motivation (...)
[...] Le mot motivation se rapporte à un comportement orienté vers un objectif. Un comportement orienté vers un objectif se caractérise par un processus, qui consiste à choisir et à orienter certaines actions, parmi des activités auxquelles on se livre de plein gré, pour atteindre des objectifs (Chung). Les motivations sont des expressions des besoins d'une personne: elles sont donc personnelles et intériorisées (Davis). La motivation se rapporte à la somme des efforts déployés pour atteindre un objectif (Dubrin). On trouve dans ces définitions plusieurs dénominateurs communs qui peuvent nous aider à caractériser le phénomène de la motivation: Un besoin intérieur donne de l'énergie au comportement humain et l'active Le dynamisme est la force intérieure qui pousse le comportement dans un sens particulier; Les objectifs sont les incitations ou les gratifications qui renforcent la satisfaction personnelle, et celle-ci renforce à son tour la perpétuation des besoins. [...]
[...] L'aptitude à communiquer, le développement des relations humaines de qualité, l'aptitude à résoudre des problèmes et la capacité de s'adapter rapidement aux changements technologiques sont des compétences qu'il faut développer chez les membres d'une organisation qui tend à réaliser le dynamisme voulu, à travers le développement de l'aspect relationnel qui n'est que le rôle de la motivation. Definition de la motivation Une personne est dite motivée quand elle désire accomplir son travail de la meilleure façon possible et qui le démontre par ses efforts, sa collaboration, sa ponctualité, son dévouement. [...]
[...] Son principe de base apparaît extrêmement simple : tout comportement qui est suivi par une conséquence heureuse aura tendance à être répété. Le comportement est donc perçu comme une fonction de ses conséquences, ce qui implique que nous pouvons le contrôler en manipulant celles-ci. Les moyens d'affecter le comportement La conséquence du comportement crée un lien automatique entre le stimulus et le comportement et non pas un lien rationnel entre le comportement et la conséquence. On reconnaît généralement quatre façons d'affecter les conséquences d'un comportement pour influencer se fréquence et son intensité Le renforcement positif : c'est le fait d'accorder une récompense à la suite du comportement désiré, qui s'est réellement produit Le renforcement négatif : C'est le fait de faire cesser une condition désagréable en récompense à un comportement qu'on veut encourager La punition : C'est le fait de faire suivre par une conséquence désagréable un comportement que l'on veut éliminer L'extinction : C'est le fait d'ignorer complètement les comportements non désirés, c'est à dire de ne les faire suivre ni d'une conséquence heureuse ni d'une conséquence malheureuse. [...]
[...] On conclu que le niveau de compétence de l'individu, sa propre motivation et sa personnalité influencent la motivation des autres membres et par conséquent la dynamique du groupe. LA MOTIVATION ET LE STRESS La motivation représente l'une des solutions les plus efficaces dans le monde organisationnel pour faire face au stress des travailleurs. Cependant, le stress peut représenter une manière intelligente pour motiver les individus dans l'accomplissement de leurs fonctions et accroître leurs performances, à condition que le stress provoqué ne dépasse pas son optimum et devient alors une source de démotivation. [...]
[...] la perception d'une telle inégalité crée donc un sentiment d'inéquité qui pousse à l'action, ce qui explique pourquoi nous classons cette théorie parmi les théories de la motivation. La théorie de l'équité a donné naissance à plusieurs autres propositions intéressantes : L'inéquité crée un état de tension dans l'organisme ; Plus le sentiment d'inéquité est grand, plus l'individu est motivé à faire quelque chose pour le réduire ; L'inéquité résulte ordinairement d'une comparaison avec un autre et non pas d'une simple comparaison entre nos gains et nos contributions ; Le sentiment d'inéquité est plus vif lorsque la comparaison nous défavorise que lorsqu'elle nous favorise ; On peut réduire l'inéquité par un simple processus mental, ou bien en modifiant réellement les gains et ou les contributions; Les membres d'une équipe qui se partagent une récompense le font normalement en fonction d'une norme d'équité. [...]
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