Enron, Toshiba, Ericson, autoévaluation, valeur ajoutée, crise économique, culture du contrôle, maîtrise du risque, Bouygues, établissement de crédit, modèle adaptable, efficacité, mécanisme de contrôle externe
Ce diaporama est un support de soutenance pour un mémoire sur la valeur ajoutée de l'autoévaluation dans le cadre de la maîtrise des risques.
"Les affaires Enron, Toshiba mais aussi Kerviel ont montré des faiblesses structurelles existantes dans les dispositifs de contrôle interne. La crise économique et financière a particulièrement renforcé ce constat pour les établissements de crédit et les entreprises financières.
La « culture du contrôle » apparaît comme l'un des déterminants majeurs permettant de prévenir les dérives des dispositifs de maîtrise des risques et des pratiques des fonctions opérationnelles."
[...] CONCLUSIONS L'autoévaluation a démontré une vraie plus value dans l'identification des axes d'amélioration des dispositifs de maîtrise des risques et de contrôle interne; Cette valeur ajoutée dépend cependant de certaines conditions, notamment de confiance et de coopération, dans la mise en place de l'autoévaluation mais aussi dans l'application de ses suites; L'autoévaluation n'a pas vocation a remplacer les dispositifs de contrôle périodiques mais se placent comme un complément intéressant pour permettre une meilleure allocation des moyens affectés aux corps de contrôle. [...]
[...] PERSPECTIVES Chez Bouygues, la pratique de l'autoévaluation par questionnaire semble devoir perdurer tant le niveau d'acceptation de la pratique montre une appropriation de cette méthode. La crainte majeure de ce dispositif est qu'il soit récupérer ou manipulé par certains acteurs de l'organisation. Cette affirmation, si elle devait s'avérer fondée remettrait en cause la confiance nécessaire à son bon déroulement et donc, saperait la valeur ajoutée propre à ce processus. Le cas de fraude dans la zone AMSUD a cependant révélé les faiblesses existantes de l'autoévaluation qui devrait s'améliorer au fil des itérations mais qui démontre parallèlement le caractère complémentaire du contrôle périodique avec ce processus. [...]
[...] Selon vous, est ce que l'autoévaluation est source de valeur ajoutée dans le cadre du dispositif de maîtrise des risques Oui non de l'efficacité du Pensez vous que votre participation à la campagne complète d'autoévaluation vous a permis d'identifier des risques majeurs ? Oui Non PERSPECTIVES L'autoévaluation et notamment l'autoévaluation par questionnaire est une technique qui a été bien appropriée par les entreprises et qui est largement pratiquée; Cette technique a vocation a perdurer, particulièrement dans une optique de renforcement des dispositifs de contrôle et à la complexification des organisations. [...]
[...] - En quoi sa flexibilité permet-elle sa bonne mise en œuvre dans tout type d'organisation? LES RAISONS DE CE CHOIX - La question de l'autoévaluation a connu des développements très importants au cours des années 2000. - Cependant, à l'exception des établissements de crédit, les entreprises cotées n'ont pas vu un renforcement des prérogatives de leur autorité de contrôle avec notamment peu de contrôles sur place - Cette absence est d'autant plus étonnante que la fiabilité du dispositif de maîtrise des risques est un critère de confiance de la part des marchés - Dans ce cadre, la pratique de l'autoévaluation par les entreprises est apparue comme l'un des motifs majeurs expliquant ce phénomène ELÉMENTS DE LITTÉRATURE La méthodologie de l'autoévaluation s'articule autour de plusieurs documents de référence dont, principalement: - Le cadre de référence de l'AMF - L'ouvrage IFACI l'autoévaluation 2010 portant sur la - Les bonnes pratiques des normes ISO et COSO pratique de VALEUR AJOUTÉE DE L'AUTOÉVALUATION Une modèle adaptable Autoévaluation par questionnaire; Autoévaluation par comparaison; Autoévaluation par atelier. [...]
[...] En quoi la pratique de l'autoévaluation peut-elle être complémentaire voire plus efficace et plus efficiente que les mécanismes de contrôle externes ? CONTEXTE - Les affaires Enron, Toshiba mais aussi Kerviel ont montré des faiblesses structurelles existantes dans les dispositifs de contrôle interne. - La crise économique et financière a particulièrement renforcé ce constat pour les établissements de crédit et les entreprises financières. - La « culture du contrôle » apparaît comme l'un des déterminants majeurs permettant de prévenir les dérives des dispositifs de maîtrise des risques et des pratiques des fonctions opérationnelles. [...]
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