La théorie des organisations
[...] Dans ce cas, il y a des sentiments d'apathie et de soumission. Le meilleur style pour Lewin est le style démocratique car il a développé la communication et l'esprit d'indépendance, de plus la qualité est meilleure souvent mais la productivité est moindre. Il va formaliser la théorie du comportement en groupe et être à l'origine d'un courant le développement organisationnel (méthode adoptée dans les entreprises dans les années 60 et 70) Etudes des motivations Maslow Psychologue américain, il va fournir un schéma représentant les bases de l'action humaine qui se représente sous forme de pyramide : - les besoins psychologiques (se loger, se vêtir, manger, dormir) : ils sont vitaux, une fois comblés, ils cessent d'être vitaux, ils deviennent secondaires - les besoins de sécurité : sécurité de l'emploi, protection contre les menaces - les besoins sociaux : appartenance à un groupe, être reconnu, pouvoir communiquer - les besoins d'estime : être respecté, avoir un statut - les besoins d'accomplissement : pouvoir réaliser son potentiel Ce qui motive pour Maslow est la satisfaction des besoins. [...]
[...] Il y a une stricte définition du travail, une structure hiérarchique qui contrôle tout, des règles écrites qui prévoient tout. Selon Weber, il y a des experts qui connaissent bien leur travail. Dans ce type de structure tout est prévisible. L'approche de Weber rejoint quelque peu celle des classiques, notamment l'OST avec une stricte définition des structures et recrutement sur la compétence des candidats. Cependant, on a une vision très impersonnelle de l'employé, on attache plus d'importance à son poste Michel Crozier C'est un professeur de sociologie, chercheur au CNRS, professeur à Harvard et à la Sorbonne. [...]
[...] Dans le cas le plus rationnel, la sélection se fait par les diplômes, concours 6. le salaire est fixe, variable selon l'échelle hiérarchique avec prime proportionnelle 7. l'emploi dans l'organisation est la seule occupation professionnelle de ses membres 8. la promotion se fait selon l'appréciation des supérieurs (notation ou inspection) 9. l'employé n'est ni propriétaire de ses moyens, ni de son poste 10. l'employé est soumis à une discipline stricte Cette forme bureaucratique a un autre nom, elle porte le nom de rationnelle légale. [...]
[...] Le but d'une entreprise est de développer une croissance à long terme pour une vie à long terme. Les objectifs que doit suivre l'entreprise déterminent : - la délégation de l'autorité - la définition réelles des responsabilités - l'intégration des services - la définition de la structure - la supervision hiérarchique - la motivation C'est la stratégie qui va définir la structure pour Gélinier. Il va définir quelques règles pour avoir une structure efficace : elle doit être légère (pas de niveau hiérarchique) pour éviter d'avoir des courts-circuits, on doit créer un organe spécifique pour répondre au management. [...]
[...] Mais l'autorité centrale va déférer différentes fonctions. Il ne faut pas une soumission des subordonnés, mais une participation de ceux-ci. Le principe de Follet : - coordination par contact direct (on se moque de la hiérarchie, c'est la tâche qui doit mettre en relation les individus) - coordination dès le début des tâches (les salariés doivent aider à définir leur travail) - coordination en prenant en compte tous les problèmes - coordination continue et permanente Elle a calqué le principe de démocratie au sens politique du terme, à l'organisation de l'entreprise. [...]
Source aux normes APA
Pour votre bibliographieLecture en ligne
avec notre liseuse dédiée !Contenu vérifié
par notre comité de lecture