Évaluation de l'entreprise, gouvernance d'entreprise, création de valeur, théorie d'agence, relation actionnaire-dirigeant
Dans ce cadre général, les modèles qui étudient la relation actionnaire–dirigeant ont une double spécificité et l'actionnaire est le principal le dirigeant est resté l'agent. Le principal subit l'information mais il est en général neutre vis-à-vis du risque; le dirigeant bénéficie de la symétrie d'informations et il est caractérisé par une aversion au risque, différents scénarios peuvent être considérés, on peut considérer comme dans les modèles de hasard moral que l'actionnaire n'observe pas dans le détail les décisions et les actions prises par l'agent.
[...] Dans le cas de relations actionnaire dirigeant il y a une relation rémunération. Du point de vue du dirigeant dans le contrat le dirigeant révèle son effort c'est-à-dire qu'il accepte d'être contrôler, les audits organisés par les actionnaires garantissent l'idée qu'il fait des efforts. Afin de préciser la nature du contrat il faut définir les critères de résultats de l'entreprise, sur lesquels l'actionnaire va se fonder pour juger de l'action du dirigeant, il est donc nécessaire de compléter l'analyse de la relation d'agent par l'étude de la gouvernance d'entreprise par la création de valeurs. [...]
[...] Les années 70 c'était la rentabilité comptable le bénéfice net, bénéfice net par action, dans les années 60 il y avait un critère diffèrent la taille de l'entreprise le total des actifs, le plus connue des cabinets et le cabinet Mc Linsey, dans les placements les entreprises qui ont un gros capital ; il y a le critère de la valeur ajoutée économique EVA et de la valeur ajouté du marché MVA, le critère EVA est celui qui a le mieux fonctionné. b-Application des critères financiers à la gouvernance d'entreprise Ce qui est moderne c'est l'utilisation particulière de ces critères qui donnent à l'EVA c'est-à-dire la gouvernance d'entreprise par la création de valeurs. [...]
[...] La théorie de l'agence Dans ce cadre général, les modèles qui étudient la relation actionnaire –dirigeant ont une double spécificité et l'actionnaire est le principal le dirigeant est resté l'agent. Le principal subit l'information mais il est en général neutre vis-à-vis du risque ; le dirigeant bénéficie de la symétrie d'informations et il est caractérisé par une aversion au risque, différents scénarios peuvent être considérés ,on peut considère comme dans les modèles de hasard morale que l'actionnaire n'observe pas dans le détail les décisions et les actions prises par l'agent ,en effet il peut juger de la pertinence de ses décisions ,il peut donc juger de la valeur du dirigeant au travers des résultats de l'entreprise et c'est donc sur la base de ces résultats qu'il juge le dirigeant. [...]
[...] La théorie de l'agence est celle qui ne choisit pas sa problématique de distinguer l'entreprise du marché , il y a une existence collective de l'entreprise , la théorie de l'agence représente un défaut ; en effet considéré que l'entreprise est un réceptacle du contrat est contestable au moins pour 3 ou 4 raisons : -en premier lieu aucune relation particulière est accordée à la relation d'emploi qui est mise sur le même plan que les autres relations, l'autorité s'est amené à une incitation ; - la firme n'est pas appréhendée comme une organisation puisque chaque contrat est prise en compte séparément ,elle ne tient pas compte des dimensions collectives c'est-à-dire de l'aspect de l'entreprise en tant qu'institution, tout élément collectif se dissout dans les contrats individuels entre individus qui sont dotés d'une rationalité substantiel ça ne permet pas de distinguer clairement l'entreprise du marché. On ne se pose la question des frontières c'est-à-dire la séparation entre la firme et le marché la quatrième difficulté que l'on peut retenir c'est l'absence de compétence, l'entreprise est un nœud de compétence. [...]
[...] Afin de conservé un bon classement en terme de EVA MVA es entreprises peuvent être en place de stratégies de gouvernance externe, il sert de guide pour les actionnaires et le investisseurs potentiels. b Maximisation d'EVA ET MVA Les entreprises mettent en œuvre pour maximiser l'EVA ou la MVA, il s'agit la rentabilité du capital RO et simultanément de diminuer le cout ces stratégies sont différencies selon les entreprises, il y a 2 grands cas 1er cas c'est les entreprises situées dans les activités dans le domaine à croissance longue c'est c que l'on appelé les valeurs traditionnelles les efforts portent essentiellement sur la baisse de R on chercher à réduire les couts du capital(les licenciements). [...]
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