répartition des tâches, décentralisation, processus de production, col bleu, col blanc, hiérarchie
La structure : c'est la répartition des tâches à l'intérieur de l'entreprise du sommet jusqu'à la base. Plus l'entreprise est de grande taille, plus la répartition est complexe et implique de nouvelles personnes, les individus à l'intérieur de l'entreprise est différent par leurs compétences, leur savoir-faire, leur formation mais aussi par leur façon de voir les choses (leur approche des choses) ; ça suppose qu'il va falloir répartir les individus en fonction des tâches à accomplir. On les réparti les uns par rapport aux autres de manière horizontale mais aussi verticale. Horizontale : les individus travaillent entre eux, parfois en groupe et n'ont pas de lien hiérarchique. Verticale : les individus travaillent pour d'autres et cette relation se fait sous la forme hiérarchique (lien) ou de supériorité ou d'infériorité. On réparti les tâches + On réparti les prises de décisions, de responsabilité.
[...] Dans le modèle décentralisé, c'est un modèle qui va s'imposer à l'entreprise quand elle grandit, le dirigeant n'a plus les moyens de contrôler tout seul, il va devoir déléguer une part de la responsabilité et du contrôle ( début de la décentralisation. Il existe 2 archétypes de structures : le modèle bureaucratique ou mécanique et le modèle organique. Modèle Fordien, taylorien Ce modèle a été mis en place dans un contexte de marché en expansion ou la concurrence entre les entreprise ce faisait sur les prix. Les produits étaient peu différenciés entre eux. La notion de stock n'était pas importante. [...]
[...] La hiérarchie descendante (séparation col bleu, col blanc) n'a aucun rôle dans le processus de production. Arrivé du modèle japonais qui est un modèle très performant et qui n'est pas du tout basé sur la même organisation. L'ancien modèle est ainsi remis en question. Nouveau modèle : Amélioration de la qualité des produits et la réduction du nombre de rebus (produits non vendus qu'on s'aperçoit très tardivement qu'ils sont invendables). Système basé sur la flexibilité. Chaque opérateur des ateliers est polyvalent, il est capable à la fois d'agir en termes de contrôle et de production et cette polyvalence leur permet de s'adapter très rapidement aux changements d'outil, de machine qui sont nécessaires au changement du produit lui-même. [...]
[...] L'objectif du processus de production est de réduire ce qu'on appelle des temps opératoires CAD le temps nécessaire à la fabrication physique des pièces et de l'ensemble des produits, ce temps de production doit être réduit au minimum, d'où l'instauration d'une production à la chaine, le produit vient au salarié, ce qui permet d'utiliser les postes de travail en continu. Les salaires sont liés à la productivité individuelle et le salaire est calqué sur la productivité. Le processus de production est très rigide avec une entrée de matière première, de postes de production en chaîne, à la fin du processus de production un poste de contrôle. Si le produit passe le contrôle, le produit est mis en vente sur le marché. Si le produit ne passe pas le contrôle il va au rebus ou à l'atelier de réparation. [...]
[...] Le modèle bureaucratique et mécanique Ce modèle mécanique est caractérisé par une spécialisation élevé des tâches à effectuer. La coordination en interne se fait uniquement par la hiérarchie. Les cadres les décideurs (la hiérarchie) s'occupent du contrôle de la communication et de l'autorité (prise de décision et sanctions éventuelles à prendre). La connaissance, le savoir dans l'entreprise, dans l'organisation se situe au sommet de celle-ci. Le pouvoir, les processus de décision sont très centralisés (prise par quelques personnes qui dirigent l'entreprise). [...]
[...] Les structures d'Entreprise La structure : c'est la répartition des tâches à l'intérieur de l'entreprise du sommet jusqu'à la base. Plus l'entreprise est de grande taille, plus la répartition est complexe et implique de nouvelles personnes, les individus à l'intérieur de l'entreprise est différent par leurs compétences, leur savoir-faire, leur formation mais aussi par leur façon de voir les choses (leur approche des choses) ; ça suppose qu'il va falloir répartir les individus en fonction des tâches à accomplir. On les réparti les uns par rapport aux autres de manière horizontale mais aussi verticale. [...]
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