Les fondements de l'exercice du pouvoir impliquent de s'interroger sur les sources du pouvoir, sur sa légitimité.
[...] Technocratie : ce mode de fonctionnement est basé sur le niveau de compétence. B. LES STYLES ÉMERGENTS : Consultatif : le dirigeant consulte les salariés et prend en considération leurs propositions et leurs idée avant de prendre ses décisions. Participatif : l'implication des salariés est plus large car ils participent à l'élaboration des objectifs et à la prise de décision. Le dirigeant n'a pus le rôle de chef. Gouvernance d'entreprise : vise à trouver un équilibre entre le pouvoir des actionnaires et celui des manageurs. [...]
[...] o Ce type de fonctionnement permet de coordonner les décisions facilement et est aisément applicable dans les petites structures. o Une répartition des pouvoirs de décisions entre plusieurs personnes est obligatoire dans les grandes entreprises pour accroître l'efficacité des décisions. Cela permet de motiver le personnel. La décentralisation c'est donc la délégation de pouvoir, c'est-à-dire le transfert de la prise de décision à des niveaux hiérarchiques inférieurs. o La décentralisation n'est jamais totale. Chaque organisation déterminera le degré de décentralisation selon la taille, ses caractéristiques et ses besoins. [...]
[...] SA LÉGITIMITÉ : Les bases de la légitimité. Cette légitimité repose sur : o Des facteurs juridiques comme le droit de propriétés, variant en fonction du statut juridique (entreprise individuelle, SARL, SA, entreprise publique ) ; o Des facteurs relationnels, c'est-à-dire la position hiérarchique, la compétence technique et professionnelle (savoir-faire et savoir être) ou les relations informelles (charisme, affectivité). La légitimité interne ou la légitimité des décisions par rapport au personnel. Il convient de distinguer le pouvoir de l'autorité. Le premier est davantage lié au statut alors que la seconde est plus une question de charisme, de personnalité. [...]
[...] LES STYLES DE DIRECTION : Le comportement du dirigeant et le style de direction adopté évoluent pour permettre une plus ou moins grande participation de l'ensemble des salariés et une responsabilisation plus ou moins importante des individus. Les nouveaux styles de management tendent à accroitre le rôle des salariés dans la prise de décision et le fonctionnement de l'organisation. A. LES STYLES CLASSIQUES : Paternalisme : le patron dispose d'une autorité incontestée et dirige ses salariés maintenus dans la dépendance (crainte, reconnaissance ou espoir d'une récompense). Autoritarisme : le dirigeant veut avoir un contrôle absolu et laisse peu de responsabilités à ses subordonnés. [...]
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