La direction de l'entreprise dans un salon de coiffure

Résumé du document

Le coiffeur d'aujourd'hui n'est plus un simple artisan, il doit être un véritable chef d'entreprise. Il doit bien sûr maîtriser son métier au plus haut niveau, mais doit également maîtriser le développement commercial de son entreprise. Informatique, marketing, politique de prix, marketing direct sont des nouveaux alliés (...)

Extraits

[...] Toutes les décisions remontent et reposent sur vous. Autoritaire, voir paternaliste, vous ne communiquer que du haut vers la bas. Autrement dit, vous informez vos salariés mais vous ne les laissez pas s'exprimer. Ce type de management offre l'avantage d'instaurer des relations claires et bien comprises. C'est aussi le plus facile a mettre en place. Car faire un effort d'écouter est plus fatiguant que de donner des cadres. Dans les situations de crises vous avez du mal à admettre l'échec. [...]

[...] Informatique, marketing, politique de prix, marketing direct sont des nouveaux alliés. Une bonne connaissance et une parfaite maîtrise de ces disciplines permettront de voir l'avenir avec optimisme et sourire. Conscient que seul le bon travail ne suffit plus à développer une clientèle, il doit être le catalyseur permettant de créer le dynamisme du salon et par voie de conséquence, le dynamisme de la clientèle. S'adapter aux situations Il n'existe pas de style de management parfait en soi. Un bon management est celui adapté aux situations. [...]

[...] Ce qui est peu motivant. Le démocratique Dans votre salon, tout le monde s'exprime, mais au bout du compte c'est vous qui décidez. Vous avez tendance à lâcher du lest et à délégués des taches d'exécution et non de décision que vous jugez aux résultats. Ce type de management souvent ambigu, favorise l'individualisme. Chacun joue perso et non en équipe. Tout est bon pour la performance mais l'aspect qualificatif passe après. Mais la démocratie dans l'entreprise ne consiste pas seulement à se donner conscience. [...]

[...] Le participatif Vous prenez en considération le facteur humain de votre entreprise, ce qui est une qualité fondamentale. Mais l'une de vos difficultés consiste à trouver des salariés d'une maturité suffisante pour avoir envie de prendre eux aussi des responsabilités. En contrepartie, l'avantage est que votre personnel s'intéresse à la vue de l'entreprise et n'hésite pas à prendre des initiatives. Or cette responsabilisation ne peut se faire que par petites touches si vous ne voulez pas les mettre en situation d'échec. [...]

[...] L'idéal serait d'être un des trois selon les circonstances. Et surtout ne pas refermer la porte à la première erreur venue. Se fixer des objectifs clairs Les choses doivent être claires. Plus on sait ou on veut aller et comment y parvenir et mieux on se porte. Quand on se fixe un objectif, il faut aussi pouvoir mesurer et impliquer ses salariés. Trois éléments sont indispensable : L'énergie minimale contractuelle qui repose sur l'argent, le plaisir à aller au travail et la connaissance. [...]