Il s'agit d'un cours complet en science politique ayant pour objet d'étude l'analyse des politiques publiques.
En l'occurrence, c'est un cours de 3e année de Licence en science politique qui sera parfaitement exploitable dans d'autres cursus.
Ce document clair et très structuré s'avèrera idéal pour de nombreux(ses) étudiant(e)s en science politique, sociologie, droit, Histoire, Institut d'Études politiques, AES, GEA… et bien entendu tout(e) autre intéressé(e), pour préparer certains concours par exemple.
Voici le sommaire général :
Introduction générale
I) Qu'est-ce qu'une politique publique ?
A. Définition des politiques publiques
B. Éléments constitutifs des politiques publiques
II) Qu'est-ce que l'analyse des politiques publiques ?
A. Origine de l'analyse
B. La boîte à outils de l'analyse
C. Les dimensions analytiques
Bibliographie
[...] THOENIG (Jean-Claude), ASHFORD (Douglas), L'administration des routes et le pouvoir départemental. Vie et mort de la vicinalité, Paris, Cujas THOENIG (Jean-Claude), L'ère des technocrates. Le cas des Ponts et Chaussées, Paris, L'Harmattan MUSSELIN (Christine), La longue marche des universités françaises, Paris, PUF Les critiques JOBERT (Bruno), LECA (Jean), « Le déprérissement de l'État. À propos de L'Acteur et le Système de Crozier et Friedberg » in Revue Française de Science Politique Vol n°4-5, pp 1125- – L'analyse des institutions : l'approche néo- institutionnaliste Si, en Europe, la question de l'État et des institutions est restée constamment au centre des préoccupations de la science politique, ce ne fut pas le cas aux Etats-Unis. [...]
[...] La « boîte à outils » classique de l'analyse des politiques publiques Les grands modèles fondateurs constitutifs de la « boîte à outils » classique de l'analyse des politiques publiques ont été forgés durant les décennies 1960 et 1970. - 22 - 1 – L'école du « Public Choice » La théorie du « public choice » est à l'origine un courant particulier au sein de la théorie économique qui refuse d'idéaliser l'État et entend l'expliquer en le traitant comme un agent économique classique. [...]
[...] Les limites de l'analyse stratégique : l'analyse stratégique est elle-même assise sur des postulats discutables. Il faut ainsi noter qu'après la crise des grandes idéologies comme le fonctionnalisme (systémisme), le structuralisme, le marxisme, on a assister aux débuts des années 1980 au règne sans partage du libéralisme. L'analyse stratégique s'inscrit pleinement dans ce mouvement général qui prend en sociologie la forme d'un « retour de l'acteur » à l'avant-scène ; c'est à partir de cette période que cette grille connaît un succès considérable. [...]
[...] C'est pourquoi ils vont rechercher et obtenir des formes de participation du type coformulation et cogestion de la politique publique. Par exemple, ils vont canaliser les demandes issues des individus et des sous-groupes, les réorienter dans un sens acceptable par l'État, faire des propositions à l'État, élaborer le consentement nécessaire de leurs adhérents au - 34 - compromis négocié avec l'État mais aussi exercer un rôle de « police interne au groupe ». Les limites du néocorporatisme : Le néocorporatisme est-il compatible avec la démocratie ? [...]
[...] MASSARDIER (Gilles), Politiques et actions publiques, Paris, Armand Colin, coll. « U » [Très enrichissant mais brouillon ; suppose de bien maîtriser les bases] THOENIG (Jean-Claude) (dir.), Traité de science politique, Paris, PUF, tome 4 – Les politiques publiques [très ancien] EDWARDS (C. SHARKANSKY Les politiques publiques : élaboration et mise en oeuvre, Paris, Ed. de l'Organisation – Manuels anglo-saxons BIRKLAND (Thomas), An Introduction to the Policy Process. Theories, Concepts and Models of Public Policy Making, New York, Sharpe, 2ème édition 2005. [...]
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