Il s'agit d'un cours de grande qualité ayant pour objet d'étude l'économie selon Keynes.
En l'occurrence c'est un cours de 1ère année en Licence de sciences économiques.
Ce document clair, exhaustif (46p) et très structuré s'avèrera idéal pour de nombreux(ses) étudiant(e)s en sciences économiques et sociales, Économie, Gestion, Droit, science politique, sociologie, Stratégie d'entreprise, Institut d'Études politiques, IPAG, AES, GEA, LEA… et bien entendu tout(e) autre intéressé(e), pour préparer certains concours par exemple.
Voici le plan :
- Le choix « rhétorique » de Keynes
- Petit écart… grands effets
- Le fondement de l'opposition de Keynes aux classiques
- L'exclusion du marché des fonds prêtables
- Le rejet de la loi de Say
- Le circuit économique : l'absence du marché des fonds prêtables
- S'il existait un marché des fonds prêtables
- Mais le marché des fonds prêtables n'existe pas
- L'égalité de l'épargne et de l'investissement
- Le « marché » des fonds prêtables intervient trop tard
- Le marché des fonds prêtables serait toujours équilibré…
- Correction des décisions des entreprises
- Convergence vers l'équilibre
- Nouvelle correction des décisions des entreprises…
- Jusqu'où va s'effectuer la correction ?
- Peut-on essayer de « déduire » quel est ce niveau (PQ) ?
- L'équilibre de la demande effective
- La situation sur le « marché du travail »
- Le principe de la demande effective
- Une autre représentation du principe de la demande effective
- Les deux modalités d'ajustement de / et S
- Le rendement escompté d'un projet d'investissement
- La courbe de l'efficacité marginale de l'investissement
- La décision d'investir
- La décision d'investir… avec des anticipations plus optimistes
- L'incitation à investir
- L'équilibre de la demande effective (complété)
- La théorie du taux d'intérêt
- Qu'est-ce que le taux d'intérêt ?
- Les motifs de détention de la monnaie
- La préférence pour la liquidité
- La demande de monnaie (de liquidité)
- Offre et demande de liquidité
- Le modèle keynésien simplifié
[...] • Ou: une vision dans laquelle le caractère capitaliste de l'économie, domine la coordination par le marché. • Une vision dans laquelle le caractère involontaire du chômage devient pensable Le fondement de l'opposition de Keynes aux classiques • Le fondement de l'opposition de Keynes aux classiques réside dans le caractère monétaire de l'économie (le fait que les revenus soient payés en argent). • La monnaie est un dispositif de dé-coordination: elle permet aux agents d'entreprendre des actions sans être coordonnés a priori. [...]
[...] Ils peuvent effectuer ces actions sans s'être coordonnés avec le désir d'investir des entreprises Mais le marché des fonds prêtables n'existe pas Le souhait de consommer des ménages se trouve d'emblée exaucé par leur dépense effective d'une partie de leur revenu. Leur souhait d'épargner se trouve également d'emblée exaucé sous la forme, provisoirement, d'une somme d'argent non dépensée L'égalité de l'épargne et de l'investissement L'absence d'un marché des fonds prêtables n'empêche pas ce résultat remarquable: au total (au niveau macroéconomique) l'épargne réalisée est bien égale à l'investissement réalisé: Se Sm I Mais une partie de l'épargne est involontaire: les entreprises n'ont pas réalisé leurs souhaits d'épargne. [...]
[...] ~ I I L.T.) 38 L'équilibre de la demande effective (complété) Lorsqu'on met la théorie keynésienne en « modèle », on « oublie » souvent que l'incitation à investir dépend des anticipations à long terme (ou on considère ces dernières comme données). Le principe de la demande effective peut être réécrit : PQ (1 39 La théorie du taux d'intérêt La théorie du taux d'intérêt répond à deux questions : – Qu'est-ce que le taux d'intérêt ? – Comment se détermine le niveau du taux d'intérêt ? 40 Qu'est-ce que le taux d'intérêt ? [...]
[...] L'économie selon Keynes • La théorie keynésienne ne peut se comprendre qu'en opposition à la théorie classique – néoclassique. • Le projet de Keynes est de faire la démonstration qu'il peut exister du chômage involontaire • . Sans pour autant imputer cette possibilité à une quelconque défaillance des marchés (des rigidités de prix ou de salaire) Le choix « rhétorique » de Keynes • Pour mener sa démonstration, Keynes cherche à se situer « au plus près » de la théorie néoclassique. [...]
[...] Les décisions des entrepreneurs cesseront donc de se modifier quand: ~ P Q C I 20 Peut-on essayer de « déduire » quel est ce niveau ? On sait que les ménages dépensent en consommation une partie fixe de leurs revenus en consommation C c.Rm Or, on a supposé que les entreprises versaient comme revenus aux ménages la totalité de la valeur anticipée du produit: ~ Rm P Q 21 Peut-on essayer de « déduire » quel est ce niveau (suite ) ? [...]
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