Economie d'une entreprise, politique d'une entreprise, responsabilité sociale, responsabilité économique, responsabilité sociétale, classification juridique, évolution historique
Les dirigeants d'entreprise doivent avoir certaines compétences. des compétences techniques : maîtriser un certains nombre de compétences techniques qui sont variables. Les compétences managériales : ce sont des qualités relationnelles, interpersonnelles qui permettent au décideur de bien communiquer, d'écouter, de déléguer. Il n'y a pas d'optimisation, il n'y a pas de côté motivation. Et enfin des compétences heuristiques, c'est-à-dire une capacité à s'adapter aux changements, à trouver des solutions nouvelles lorsqu'on a pas de solution préexistantes, même si on n'a pas de modèle ni d'expérience. C'est l'adaptabilité, la créativité, c'est maïeutique (l'art de faire comprendre a tout le monde qu'il faut changer).
L'entreprise a elle trois responsabilités : économique, son objectif est de proposer à l'avance des biens et des services dont le prix de la vente permet de couvrir l'ensemble des frais et de laisser un bénéfice au système (qui dépasse le coût supporté par l'entreprise). Ce bénéfice permettra de rémunérer le capital, d'investir à nouveau, d'évoluer... La responsabilité sociale : l'entreprise est un lieu de vie où les facteurs sociaux jouent un rôle important. L'entreprise doit créer des emplois. La situation sociale doit être acceptable, conforme et respecter le salarié. L'aspect social joue aussi à l'extérieur de l'entreprise et pas seulement à l'intérieur. L'emploi qui est proposé par l'entreprise est un facteur "d'identification sociale", c'est-à-dire que la qualité de la vie du salarié dans l'entreprise se remarque également en dehors de l'entreprise. Cela va stabiliser le salarié dans la société.
[...] Elle emploi que quelques ouvriers et quelques apprentis. Il existe une forme de hierarchie, une structuration avec des règles précises. Le renouveau du 16ème siècle (fin du moyen age 1450-1600 : la Renaissance) La premiere chose qu'on va constaté : une évolution économique : la création et le développement d'entreprise de taille beaucoup plus importante. Ce sont essentiellement des arsenaux ou des grandes manufactures (gobelins : grande entreprise). Il y a un gros systeme. La grande différence c'est une dépossession de l'outil par rapport au salarié, l'ouvrier sera plus qu'un apporteur de main d'oeuvre il sera plus outil. [...]
[...] Ex : cas des premiers monospaces QUI se battent pour savoir qui sera le premier : premier : Renault Espace : tant que le client voulait un monoespace, il dpouvait seulement acheter Renault. -ROBINSON : remet en cause l'idée de maximisation du profit et va démontrer que tous les entrepreneurs ne recherchent pas forcément la maximisation du profit. Il peut y avoir d'autres critères qui prennent le relais. Ex : un critère de croissance. In n'y a donc pas un seul objectif unique que doit poursuivre l'entreprise. [...]
[...] Dans l'association c'est tres vaste et difficile à comprendre. L'objectif est de satisfaire un but social (aide a domicil, le repas ) elle n'est pas forcement dominé par un but lucratif. Sur le monde associatif certaines associations fonctionnent comme des sociétés car ils sont sur des marchés. FIN FICHES CHAPITRE 5 : classification dimensionnelle I. Indicateurs quantitatifs et qualitatifs Ont des incidences politiques de régulation et les systèmes de régulation vont essayer de mesurer quantitativement les effets des fusions sur la bonne marche de l'économie (est-ce qu'il faut autoriser certaines croissances ou pas et que ça ne nuise pas au bon fonctionnement concurrentiel du marché et à la concurrence ainsi qu'au consommateur. [...]
[...] Il y a une longue vague de privatisation. Il y a d'autres sociétés qu'on peut ranger dans le secteur public dans lesquels il y a la participation d'un acteur public au capital. Ce sont des sociétés qui ont un fonctionnement de type société anonyme dans lesquelles l'État est présent sous forme de prime de participation du capital de l'entreprise) . Au-delà de 50 : filialisation et en-dessous de c'est une prise d'intérêt en tant qu'actionnaire. On estime qu'en France, il y a sociétés dans lesquelles l'État a une influence forte, ce qui représente salariés. [...]
[...] Le travailleur subit les contre-coups (d'une crise , d'un dysfonctionnement). Exemple : Une entreprise qui vend un produit à 25 euros et est face à un pb de vente avec une baisse de la demande. Elle a deux possibilités : -elle baisse le prix pour s'adapter à la demande mais comme les coûts restent inchangés, cela entrâine une baisse ou disparition du profit. Donc l'entreprise voudra réguler par le coût qu'elle estime le plus directement variable : le salaire, elle va donc les baisser pour conserver un taux de profit suffisant. [...]
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