Cette école revendique les termes de mouvement empirique avec pour état d'esprit l'idée suivante « on juge sur les résultats ». Ces empiristes vont militer pour le retour à l'expérience ou à l'expérimentation sur le terrain, font appel au bon sens ainsi qu'à une certaine forme de simplicité. A partir du terrain, ils vont tirer un certain nombre de généralités et vont essayer de transférer cette expérience et ses résultats à d'autres praticiens c'est-à-dire à d'autres entreprises (...)
[...] Cela devrait être inscrit dans la politique générale de l'entreprise et apparaitre concrètement dans les structures de l'entreprise. Il préconise le concept de DPPO (Direction participative par objectifs). On fait participer les salariés à l'élaboration des objectifs pour que ceux-ci puissent encore mieux se les approprier. Dans l'organisation, il considère comme nécessaire d'avoir des espaces de discussion entre direction et salariés pour aborder ces objectifs et permettre la participation complète. On met la corde au cou aux salariés. On tient compte des objectifs mais avec des salariés qui soient écoutés. [...]
[...] Cela sous-entend qu'il faut que ces niveaux hiérarchiques auquel on offre ses responsabilités disposent des compétences nécessaires et du recul pour prendre les bonnes décisions. Pour Sloan, la décentralisation va favoriser la responsabilisation, la prise d'initiative mais aussi la flexibilité car les décisions seront prises beaucoup plus rapidement. Dans ces conditions, une organisation décentralisée induit à une performance accrue. Pour Sloan, il est nécessaire de mettre en place une bonne coordination entre les unités décentralisées. Concrètement, il s'agit de nommer des coordonnateurs par service ou par équipe et qui vont être présents sur plusieurs unités décentralisés. [...]
[...] On a une appropriation par les individus des objectifs de l'entreprise et ils sont les leurs. A ce moment-là, on ambitionne les résultats. On parle ici de liberté c'est-à-dire que quelque soit les moyens mises en œuvre, on doit avoir le résultat qui a donc force de loi. Il s'est intéressé de surcroit aux compétences et aux rôles du manager avec toute une série de recommandations à l'attention des managers : - L'organisation est un moyen pour atteindre les objectifs. [...]
[...] Il s'agit du système d'information, des décisions financières et de l'analyse des résultats. Pour la direction générale, il est possible de piloter l'organisation avec ces 3 variables. Toutes les autres décisions sont décentralisables que ce soit le recrutement du personnel, l'utilisation du budget, l'organisation du travail, etc. La direction générale n'a pas à s'en mêler d'autant plus que les résultats sont bons. Peter Ferdinand Drucker (1909 2005) : Il habitait à Vienne et il s'est émigré aux Etats-Unis en 1937. [...]
[...] - Le manager doit pratiquer une large décentralisation et délégation (Reprise de Sloan) - Le manager doit veiller à ce que la décentralisation ne conduise pas à un affaiblissement de son pouvoir. - Le manager doit s'attacher à expliquer les objectifs à atteindre pour l'organisation pour permettre le phénomène d'appropriation. Il est le père du management moderne. Octave Gélinier : C'est un ingénieur de formation et il a travaillé à la CEGOS. Il a essayé de faire la synthèse entre les principes anciens de l'OST et les principes ou les contributions de l'école des relations humaines. [...]
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